Une belle partie : il y a eu du frittage de tank, du corps à corps, du bombardement aérien... Je lance deux sections sur le drapeau sur ma gauche (mais une arrive avant l'autre) pendant que Barbenoire envoie toute une compagnie... ma section lui fait mal, mais je ne peux tenir et je perds le grand drapeau pour le restant de la partie, le petit drapeau n'étant jamais contesté par mon adversaire. Une fois ses autocanons détruits restait le problème des Matildas... et la solution est venue des airs : mon Stuka mis sa bombe juste entre les deux chars qui étaient regroupés, mais de là où j'étais je n'ai pas vu les dégâts qu'elle avait causé (et c'est là le problème)... Lorsque Barbenoire décida d'avancer ses Matildas j'en fis de même, avec pour résultat la destruction d'un de mes 4 Pz III... Je lui détruisis un de ces chars par l'action combiné de deux Pz III et d'un canon de 150mm... La partie se termine (à ma grande surprise) par un nul... Bref, les Stukas c'est bien quand on connait les dégâts qu'ils on provoqué car le deuxième Matilda a vu son canon endommagé par le souffle de la bombe... si j'avais su, je l'aurai eu...

Rencontre dans le désert, juin 41. Mon OB : 2 Mathildas cracks, 2 Auto-canons vét, 1 Cie 40, 3 section de reco, 4 HMG, 4 mortiers 3 inch, 2 snipers cracks, et 3 carriers. Carte moyenne, avec un grand drapeau dans une palmeraie à ma droite, un petit quasiment à découvert à gauche, séparés par une petite ligne de crête, et dominés au fond par quelques collines. Je décide d'ignorer le petit drapeau, et de me concentrer sur le grand, et deploie donc 4 sections à droite pour attaquer l'oliveraie et une au centre pour aller se cacher dans les broussailles sur la ligne de crête. les auto-canons sont sur les ailes, pour chasser d'éventuels véhicules (légers de préférence) en débordement, les mathildas sont en réserve avec une section d'infanterie, et les mortiers, qui ont du mal à avoir visibilité et protection, seront redéployés par les carriers. La protection de mon infanterie démarre bien, mais les auto-canons, trop vite repérés, se font éliminer tout de suite par des panzers III sur les hauteurs qui se replient aussitôt, mes chars masqué n'ont même pas le temps d'intervenir. Oberwald approche lui aussi de la palmeraie, à grands coups de Halftracks. Une fois sous les arbres une section avancée en reconnaissance se fait massacrer faute d'avoir repéré son homologue allemande déjà placée, pendant que mes carriers s'activent dans tous les sens pour mettre les mortiers et HMG en position. La contre attaque, quoique coûteuse en hommes, est couronnée de succès grâce aux mortiers de 3 pouces qui sonnent pas mal les allemands, et à la section détachée au centre qui peut arroser les renforts de l'axe tout en étant protégée des canons allemends par la ligne de crête. Le renversement arrive avec un Stuka qui parvient d'un coup à casser le canon d'un mathilda, et tuer le chef de char de l'autre. Ce dernier se sent donc un peu léger (!) face à 4 Pz IIIg, quand il doit passer à l'attaque pour empêcher lesdits panzers de massacrer mon infanterie. Il parvient quand même à en détruire un mais quand un coup de canon de 150 mm l'immobilise,mon équipage crack craque et l'évacue. Je suis très heureux de voir la partie s'achever, car sinon, l'issue aurait été bien pire que ce nul. Merci à Oberwald pour sa disponibilité (1 à 2 envois/jour, plus le WE) dans cette partie qui aura été tendue jusqu'au bout.