c'est la deuxième fois que je rencontre ce grand nordique. Pour la première partie je l'avais attrapé par les bretelles et mis à terre sans contestation. Assurement, pour cette partie, Wiking avait envie de me frictionner les fesses aux orties. Un village assez vallonné et boisé, tout démarre bien: je prends position sur les objectifs je place les blindés..... Très vite je me fais trouer un Jpz dans le village sans comprendre d'ou venait le suppositoire. Orage de grèle sur un drapeau ou mes gars subissent des pertes sympathiques, je me rends compte que wiking tente de me déborder sur mon flanc droit, alors que je pratiquait un semblant d'enfoncement au centre. C'est le début de ma désillusion, même si le score reste très sérré durant la première moitié du jeu. Wiking s'acharne sur moi comme un morpion sur sa victime et ça marche. Ses bouffeurs de sirop d'érable font tourner en bourrique mon Wespe jusqu'à sa mise à mort, son Pershing stoppe net mon Panther et mon Tigre aura à peine le temps de déplacer sa tourelle avant d'être remercié par l'adversaire. Dans cette représentation barbare, j'aurais juste réussi deux coups magnifiques: étaler son Pershing avec un Panzershreck et allumer son jumbo par surprise avec mon Tigre. A la fin mes gars fuient en masse juste au son du chewing gum machouillé et comme toujours dans ces cas là, on a l'impression que l'adversaire a eu cinq fois plus de blindés, dix fois plus de troupes et deux fois plus d'artilleries. Ha, victoire quand tu nous abandonne!