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Bon, et bien le scénario est bien original. Un peut trop pour moi !
Le coup d’être en surnombre au début, ça, j’ai bien apprécié, mais le coup d’encaisser un raz de marée dans les gencives, ça ….
Le principal de mes forces prend d’assaut Stépano, en progressant avec prudence (comme quoi, mes précédentes débâcles commencent à rentrer) !
C’est sans surprise que je m’empare des trois drapeaux constituant le bourg, faiblement défendu par des russes inexpérimentés. Je brise plusieurs chars légers et extermine la piétaille en faisant quelques prisonniers dans l’affaire.
Sur mon flanc droit, j’ai déployé l’équivalent d’une petite compagnie avec deux engins de reconnaissance. Je me retrouve vite confronté à des chars légers contre lesquels je ne peux rien faire.
Pour en revenir au centre, après avoir pris Stépano, j’envois plusieurs blindés (principalement des chars légers –je ne dispose que de ça !) s’emparer d’un drapeau bien plus loin à gauche. Et c’est là que le vent (et les shrapnels) commencent à tourner !
Je me retrouve soudain nez à nez avec une tripotée de blindés, tous mieux armées et mieux protéger que moi, et qui venaient d’arriver. je perd de nombreux chars, et malgré un rapide replis, mes blindés intacts seront pris sous le feu concentré de T.34 et de KV.1 !! aucun ne survivra de ce qui fut à l’origine une tentative de percée.
Puis, ces gros matous de T.34 et de KV.1 (contre qui je ne peux rien faire) tourneront leur attention sur Stépano, détruisant quelques blindés essayant de trouver des planques, et pulvérisant systématiquement tous les bâtiments les uns après les autres.
Mes troupes à pieds poussent à couvert en direction d’un objectif plus en amont, mais épuisées et déjà bien amochées, avec peu de munitions en prime, elles ne réussiront qu’à contester l’objectif.
Enfin, sur mon flanc gauche, devant la situation fixée à cause d’absence de moyen anti-chars, je contourne avec deux sections la butte ennemie et lance un assaut de flanc dans les derniers tours. Je n’avais jamais vu un tel massacre !! Des russes embusqué plus loin me prendront en feux croisés et décimeront mes hommes jusqu’au derniers en l’espace d’une minute.
La dernière section quand à elle est parvenue à tenir le petit drapeau plus en retrait.
Résultat des courses : Stépano est pris, mais à quel prix ! Mes pertes sont trop lourdes pour éviter une défaite.
Mon adversaire -bien sympas soit dit en passant- à lui aussi joué la carte de la prudence, et même en surnombre, ne s’est guère hasardé à l’assaut. Et c’est tant mieux pour moi, car vers les 10 derniers tours, ça ressemblait aux bagarres que l’on trouve dans Astérix, et fort malheureusement, j’étais le romain !