Rapport de william44
.Sur un allez retour à CMFI, faire 2 points d''écart c''est quand même pas banal...
La prise du village est jouée en aller/retour.
Avec l''axe en défense, je prends des allemands. Je consitue une compagnie de bonne qualité (véterans-motivés) à laquelle j''ajoute 2 PzIV, un OA et trois avions ME109 en prix de base faible.
Je ne prends pas de pak, que je trouve mauvais à CM2, et j''ai des mortiers hors carte intégrés.
Les délais d''intervention des avions étant de l''ordre de la dizaine de minute, et leur programmation interdite au tour 1, j''organise les ballayage : à h+5 sur la zone de déploiement puis de 5 minutes en 5 minutes un peu partout. (des zones d''interventions vastes).
Mes troupes sont regroupées dans le village et la ferme isolée, j''abandonne totalement le bois, quoique je fasse galoper un groupe de combat vers le batiment isolé au pied du bled : l''idée est de surprendre de flanc ou de dos les GI s''ils décident de ne pas sécuriser ce point.
Des les premiers tours, l''un de mes char est détruit par un tir de mortiers diablement précis...
La partie va se dérouler lentement, les avions semblant trés efficaces pour désorganiser les bonhommes en face. les ME109 évitent avec soin les véhicules blindés, quelques soient mes ordres...
J''adjoint à mes avions l''intervention de l''OA de 81 qui ralentit erncore l''avance US, qui est trés prudente.
J''essaye de manoeuvrer mon second char, mais il tombe rapidement face au 75 d''un sherman que personne n''a vu !
A mi partie, les USA sont enfin parvenus devant les premières maisons. les chars arrosent les facades pendant que les GI avancent, et malgré quelques beaux coups, ils prennent cette première ligne.
Ma reserve autour de l''église est vite débordée par l''assaut américain qui n''échoue à prendre l''église que par manque de temps.
Il me reste peu de forces, mais l''IA m''accorde les points de cette église centrale.
finalement le GI a surtout trainé par exces de prudence, ou grace aux avions : les pertes us sont faibles une fois les choses posées calmement... je ne l'ai jamais stoppé dans son avance, juste ralenti.
En attaque, j''affronte des italiens (l"inconvénient de CMFI : impossible de garder ses forces secrêtes...)
je sais la puissance de leur mortier, et la faiblesse de leurs groupes de combats massifs.
Je décide que cet assaut sera comme on en rève à l''école : une puissante force de frappe contituée de deux compagnies motivées appuyées par des stuart et un sherman.
Je prend énormément d''artillerie : 3 batteries de roquettes, 2 OA de 81 et pas moins de 12 mortiers sur carte.
J''espere réduire à néant le moral italien avant de lui sauter à la gorge dans la poussière à peine retombée des ruines enflammées.
Les roquettes sont mal programmées : elles étalent leur tirs sur une trop longue période qui n''eprouve pas autant le défenseur qu''un pilonage massif. Les immeubles se révèlent assez résistant à ce matraquage, et la poussière ne protège pas mon avance.
pourtant, et malgré ces +*µ@i[& de mortiers de 45, j"avance et bouscule la premiere ligne italienne.
Mes stuarts s''empetrent dans les gravas, et mon sherman est détruit par un semovente ( ! ) mais la ville tombe finalement juste avant la fin.
Une section prévue pour prendre la ferme isolée se rtrouve sous les feux d''une MG et je n''insiste pas puisque mes soutiens sont déployés ailleurs : c'est probablement une erreur, j'ai finalement 30 hommes inutilisés....
Le bois est presque capturé aprs une avance épuisante mais les mortiers ont rendus mes hommes laches : ils rempent au lieu de se lancer à l''assaut des quelques derniers défenseurs...
La ville m''appartient avec ses deux zones mais les deux zones extérieurers sont au bénéfice des défenseurs.
Et la moyenne des deux parties donne donc ce score étriqué.
Bravo Nashorn ! De toute façon, il te reste des chars et plus à moi : ça méritait donc de toute façon une victoire pour toi.
Et puis faire aussi bien avec les italiens que l''allemand, c''est tout de même méritoire.
cvomme quoi, les italiens ne sont pas si mauvais... si le terrain est propice et le chef doué !
et là, il l''était...
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