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Les grandes unités de l'Armée Rouge
Histoire

 

 


 Cap Dan a écrit :

Les grandes unités de L’Armée Rouge

 

Présentation générale

 

 

I – Les conséquences de la Purge de 1937

En 1937 pour assurer la mainmise de Staline sur l’armée une purge décapita l’Armée Rouge. Environ 30000 officiers furent éliminés (exécutés ou envoyés au goulag) soit près de 2 % de l’effectif de l’armée (1750000 hommes répartis en 120 divisions). C’est logiquement aux niveaux le plus élevés que cela fut le plus important :

 

 

Avant la purge

Après la purge

Maréchal

5

2

Général d’Armée

15

2

Général de Corps d’Armée

85

28

Général de Division

195

85

Général de Brigade

406

186

 

Il arriva alors à la tête des armées nombres de fidèles du parti qu’on appela « la clique des cavaliers » car issue de la cavalerie (à cheval) qui avait été le fer de lance de l’Armée Rouge du temps de la Guerre Civile 1917-1921. Cette clique comprenait de nombreux sous-officiers ayant gagné leurs galons sur le terrain mais sans formation théorique complémentaires . Joseph Staline devint alors Commandant Suprême des Forces Armées. Il s’en suivit une période d’apathie, de fuite des responsabilités et de l’application pure et dure des règlements. A cela s’ajouta une mauvaise interprétation des résultats de la guerre d’Espagne et le rejet des réformes mises en place par Toukhatchevski* (dissolutions des divisions blindées, répartitions des blindés au service de l’infanterie…)

II – L’Armée Rouge au début de la Deuxième Guerre Mondiale

En 1939 l’Armée rouge comprend 151 divisions de Fusiliers, 32 divisions de Cavaleries et 38 brigades Blindées ou Mécanisées.

La première caractéristique de ces unités et surtout de la Division de Fusiliers, c’est la taille, l’URSS est un grand pays qui doit avoir des grandes divisions. Ces unités devaient disposer de tous les moyens de combat nécessaires et de fait elles possédaient de l’infanterie, des chars d’accompagnement, de la reconnaissance, de l’artillerie et des services. Ce sont en fait des monstres ingouvernables, le déficit en moyens de communications entraînant d’énormes problèmes de coordinations auxquels s’ajoutaient le niveau de formation trop faible des soldats et des sous-officiers et la carence en officiers consécutive au purges. Les unités se révèleront inadaptés au combat moderne, aussi bien en attaque qu’en défense.

Les brigades blindées et mécanisés étaient directement inspirées du modèle britannique mais l’expérience de la Guerre d’Espagne et la nécessité « d’oublier » Toukhatchevski limita leur développement. Les bataillons de chars furent alors de plus en plus affectés au soutien des divisions de Fusiliers.

Arme traditionnelle et considérée en plus comme fidèle au régime après la guerre civile et la guerre de 1920 contre la Pologne, la cavalerie à cheval garde encore un très haut prestige. Les unités de cavaleries sont également une nécessité du fait du faible niveau des infrastructures routières et ferroviaires et de l’impossibilité pour l’industrie de l’époque de fournir suffisamment de véhicule pour motoriser les troupes. Des unités de cavalerie à cheval subsisteront dans l’Armée Rouge jusqu’au milieu des années cinquante.

Avant le début du conflit, en Uni­on Soviétique comme en France : l’infanterie combat, les blindés interviennent à la demande en attaque et c’est la cavalerie qui exploite les succès de l’infanterie.

 


 

 

III – Les Divisions de l’Armée Rouge en juin 1941

Les campagnes de 39-40 (Finlande, Pologne, France) amenèrent quelques modifications et fin 1940 il fut décidés de mettre sur pied vingt deux corps mécanisés à deux divisions de chars et une division motorisée ainsi que la construction de fortifications des frontières. Le Maréchal Timochenko est alors Commissaire du Peuple pour la Défense, directement sous Staline alors qu’à la tête de la Stavka (le Haut Commandement soviétique) se trouve le Général Joukov.

L’attaque du 22 juin 1941 se déclenche face à une Armée Rouge en pleine réorganisation. Elle était constituée en juin 1941 de 230 à 240 divisions mais ce chiffre recouvre souvent des divisions plus théoriques que réelles. Elle comprend environ 160-165 divisions de fusiliers, 60 divisions blindées, 30 divisions mécanisées, 12 divisions de cavalerie et quelques divisions de fusiliers motorisés.

L’opération Barbarossa, si on inclut les fronts roumains et hongrois concerna 77 divisions de fusiliers, 34 divisions blindées,  8 divisions de cavalerie, 13 divisions mécanisées, les autres étant stationnées trop loin de la zone des combats.

La Division de Fusiliers a subi quelques modifications en conséquence de la campagne de Finlande. La plus importante est la disparition du Régiment de chars légers et sont effectif global est ramené à 14500 hommes..

Si la DF s’est allégée, la Division Blindée avec 375 chars et 95 automitrailleuses est un monstre encore plus lourd à utiliser que les DF d’avant 1939. C’est plus une division de chars qu’une véritable unité interarmes, nullement comparable aux Panzer Division ni même au DCR française qui n’étaient pas des modèles d’équilibre. L’équipement en moyens de communication étant fort limité, la coordination de ces forces disparates relevait plus du miracle que de la stratégie.

Les Divisions Mécanisées semblaient plus équilibrée avec leurs deux Régiment de Fusiliers Motorises (6 bataillons) pour un Régiment de Chars (5 bataillons) malheureusement ce ne sont que des chars légers qui furent balayés par l’offensive allemande.

La modernisation de l’Armée Rouge commençait seulement au début de Barbarossa. Les tactiques de coopération interarmes n’étaient pas encore au point et les Division blindées furent aussi mal utilisée que les divisions française. L’équipement radio était d’ailleurs aussi peu développé que dans l’armée française de 1940. Les Divisions Mécanisées se firent tailler en pièce, leurs blindés n’ayant aucune réelle capacité en combat char contre char.

L’Artillerie est surtout utilisée en tirs directs à cause du déficit de formation des artilleurs, corollaire de cette faiblesse, la majorité des pièces d’artillerie est répartie au sein même des différentes Divisions. Les Réserves d’Artillerie à la disposition du Haut Commandement représente moins de 10% du parc ne facilitant pas l’organisation de grosse concentration pour des opérations importantes.

Malgré la diminution de la taille de la DF, l’Armée Rouge reste composée d’unités trop grosses et ne disposant pas des moyens de communication et de commandement suffisants.

IV – Les Divisions de la Victoire

Le désastre du 22 juin 1941 et de l’opération Barbarossa entraîna de profondes mutations dans les unités de l’Armée Rouge. Les divisions blindées et mécanisées furent supprimés et la division de fusiliers continua sa cure d’amaigrissement. La DF perdit sa DCA et la majorité de ses unités de service. Le bataillon de reconnaissance fut réduit. Le manque d’efficacité des artilleurs entraînant également une mutation dans son organisation. Les pièces légères et moyennes restèrent dans la DF tandis que les pièces lourdes rejoignaient des unités spécifiques chargées de fournir l’appui indirect.

Pour la Stavka la Division de Fusiliers est considérée comme une « unité périssable ». Après une semaine de durs combats, la division est ramenée à l’arrière pour y être recomplétée ou même recrée pour les plus éprouvées.

Du fait de l’inefficacité des divisions blindées, un système de brigade de chars fut mis en place à partir d’août 1941.Le modèle évolua au fur et à mesure du temps. Les divisions blindées et mécanisées réapparurent à la fin de la guerre sous la forme de Corps Blindés et de Corps Mécanisés.

Après les pertes énormes de 1941-42 la Stavka, devant reconstituer totalement les unités d’artillerie (matériel et hommes), choisit de regrouper les pièces lourdes au sein de Brigades d’Artillerie. A la fin de la guerre, les trois quarts des pièces d’artillerie ne seront plus dans les unités d’infanterie ou blindées mais dans les Brigades et les Division d’Artillerie. Pour les besoins opérationnels, il était également crée des Corps d’Artillerie regroupant Brigade et Division d’Artillerie (jusqu’à 25 Brigade dans un même Corps). A l’artillerie classique s’intégraient les Régiments et Brigades de lance-roquettes (Katyushas).

Une autre spécificité de l’Artillerie fut les Brigades Antichars Motorisées, ces unités étaient « sacrifiables », amenées sur des secteurs où l’on attendait une attaque blindée. Une des « techniques » de ces brigades, du fait du faible niveau de formation des artilleurs, consistait à faire tirer les batteries groupées : les quatre pièces concentrant leur tir sur le même blindé.

 

Organisation

 

I – La Division de Fusiliers

Cet organigramme est théorique, un manque chronique d’effectif ne permit pas à la majorité des divisions d’aligner leurs 19000 hommes. Les déficits les plus fréquents sont dans les unité « techniques » (transmissions, blindés…). Dans sa configuration normale, l’unité est très équilibrée, avec 3 régiments d’infanterie à trois bataillons d’infanterie soutenus par un régiment d’artillerie à deux groupes, un bataillon de chars légers ( T26 ).

Les 2900 hommes du régiment de fusiliers disposent de 81 FM, 58 mitrailleuses, 6 canons d’infanterie et 6 canons antichars. Cependant à cette époque l’infanterie ne dispose pratiquement que de fusils et de pistolets, une directive d’avant-guerre réservant l’usage des PM aux seules forces de police.

Les calibres des pièces d’artillerie vont de 45mm à 152mm répartis ainsi.

Chaque bataillons se voit affecter deux canons de 45mm AC.

Les mortiers de 50mm sont intégrés dans les sections de combat.

Les mortiers de 82mm équipent la compagnies d’appui des bataillons.

Les mortiers de 120mm et les 76mm dépendent des régiments de fusiliers.

Le régiment d’artillerie dispose d’un groupe d’artillerie légère avec 28 canons de 76mm et d’un groupe d’obusiers avec 28 obusiers de 122mm et 12 obusiers de 152mm.

 

Le Régiment de Fusiliers dispose de trois bataillons d’infanterie soutenus par trois batteries d’appui, une de six canons AC de 45mm, une de six obusiers d’infanterie de 76mm et une de quatre mortiers de 120mm. Chaque bataillon dispose de ses soutiens propres, un section de deux canons AC de 45mm, une batterie de six mortiers de 82mm et une compagnie de douze mitrailleuses lourdes.

Le Régiment d’artillerie légère est à deux bataillons regroupant chacun trois batteries de quatre canons de 76mm. Celui d’artillerie lourde est à  deux bataillons de deux batteries de quatre obusiers de 122mm et un bataillon à trois batteries de quatre obusiers de 152mm.

Le bataillon antichar est articulé en trois batteries de six canons de 45mm et le bataillon antiaérien en deux de quatre canons de 37mm et une de quatre canons de 76mm.

Avec la disparition du régiment de chars légers, le bataillon de reconnaissance est la seule unité motorisée avec une compagnie motorisée sur camions, une d’automitrailleuse (quinze BA) et une de chars légers (seize T38 ou T40).

Les transmissions disposent d’une compagnie radio et de deux compagnie de téléphoniste, le génie dans ses cinq compagnies dispose d’une compagnie de pontonniers et d’une compagne de défense chimique, c’est d’ailleurs cette dernière qui met en œuvre les trente lance-flamme de la division.

Les Régiments de Fusiliers conserve leur structure ternaires mais ses appui sont renforcés par une compagnie de trente six fusils antichars. Les canons antichars de 45mm de la compagnie régimentaire sont parfois remplacés par des 57mm. Chaque bataillon ne dispose plus que d’une seule compagnie d’appui avec six mitrailleuses et deux mortiers de 82mm.

Le Bataillon Antichar est normalement équipé de canons de 57mm à raison de quatre par batterie mais les canons de 45mm seront présents jusqu’à la fin dans certaines unités.

Le Régiment d’Artillerie à trois Bataillons de trois Batteries de quatre canons met en œuvre vingt quatre canons de 76mm et douze obusiers de 122mm.

II – La Division Blindée

Les bataillons de chars comptaient 32 chars T-28 alors que les bataillons de Reconnaissance étaient équipés de BT-7 et BT-8.

Le Régiment de Fusiliers a la même organisation que les régiments des DI.

Chaque Régiment de chars dispose d’une compagnie de reconnaissance avec treize automitrailleuses. Trois Compagnies de chars forment les bataillons mais le nombre de chars par compagnie dépend du type, lourds : dix chars, moyens : dix-sept chars, légers : trois chars et neuf chars lance-flamme. En comptant les chars des chefs de bataillon cela fait par régiment : trente et un KV, cent quatre T-34, dix T-26 et vingt-sept OT-26.

Le PC du Régiment d’Artillerie dispose d’un KV-II, les bataillons sont organisés en  trois batteries de quatre obusiers, 122mm pour l’artillerie moyenne, 152mm pour l’artillerie lourde.

Le Bataillon de Reconnaissance est plus gros que celui des DI avec quatre compagnies, une de dix-sept BT7, deux de treize automitrailleuses  et une de motocyclistes.

L’unité ne possède pas de Génie d’assaut (minage, déminage, combat urbain) mais étant donné la faiblesse de l’infrastructure routière la division intègre un bataillon du génie d’aide au franchissement composé de trois compagnies de pontonniers.

Les Brigades Blindées ne possèdent pas réellement d’appui, elles faisaient partie des réserves et étaient engagées pour des opérations ponctuelles en renforcement de Divisions de Fusiliers et avec l’appui de Brigades ou de Divisions d’Artillerie.

Nombre et type de chars par Bataillon.

EM : 2 T-26, Compagnie lourde :  7 KV-1, Compagnie moyenne : 11 T-34, Compagnie légère : 10 T-40. Les sections de chars légers et moyens sont  à partir de ce moment à 3 chars alors que celles de chars lourds sont à 2 chars. Normalement un char par section est équipé de radio.

Les Bataillons de Fusiliers sont motorisés (camions). Ils disposent de 6 mortiers de 82mm, 3 canons AA de 37mm et 4 canons de 45mm et 6 fusils AC dans ses unité d’appui. Les compagnies de fusiliers possèdent 9 FM, 2 mitrailleuses lourdes et 3 fusils AC alors que dans la compagnie de Mitrailleurs les PM remplacent les fusils.

Comme pour les autres unités, la taille était encore trop grande par rapport au capacité de communication et de commandement russes de l’époque. En 1942, une nouvelle organisation sans char lourd est mise en place. Les canons de DCA sont également retirés des bataillons de fusiliers. Chaque PC de bataillon de chars dispose d’un char ainsi que le PC de Brigade.

A partir de la fin de 1942 apparaissent des Corps Blindés regroupant trois Brigades de Chars du type ci-dessus soutenues par une Brigade de Fusiliers Motorisée (3 bataillons), un bataillon de reconnaissance, un bataillon de « Katyusha » et une compagnie de Pionniers.

En Novembre 1943 une nouvelle organisation de la Brigade est adoptée.

Les Bataillons de chars sont désormais dotés uniquement de T34 alors que les Bataillons de Fusiliers ont fait place à des unités complètement équipées de PM. Tous les chars de commandement (commandant de Brigade à chef de section) sont dotés de radio.

La structure des Corps Blindés est alors quasi définitive. Unité assez équilibrée, elle manque cependant d’artillerie lourde, les batteries d’obusiers automoteurs se limitant l’assaut frontal voire à un support direct, le tir indirect n’est pas pratiqué par ce type d’unité.

Les Bataillons de chars sont à deux compagnies de trois sections de trois chars ce qui fait un total de 21 chars avec ceux des chefs de compagnies et du chef de bataillon. Les régiments d’artillerie sont formés de batteries de cinq automoteurs, équipés pour le premier de SU-76 ou Su-85 et de SU-100, SU-122 ou SU-152 pour l’autre. Les bataillons de reconnaissance sont dotés de chars légers T70 et d’automitrailleuse.

La création et l’utilisation des Brigades et des Corps Blindés ne firent pas totalement disparaître les Régiments de chars indépendants. Ces unités étaient détachées en soutien des Divisions de Fusiliers. Les chars lourds étaient regroupés au sein de Régiments rattachés à l’échelon supérieur, l’Armée Blindée ou aux Réserves des Fronts.

III – La Division Mécanisée

La Brigade Mécanisée est utilisée en Réserve comme la Brigade Blindée de l’époque. Sa structure lourde sans être réellement interarmes fut abandonnée après l’invasion de la Pologne et de la France par les forces allemandes.

Une compagnie de dix automitrailleuses est rattachée à chaque Régiment de Fusiliers et une seule batterie de canons de 76mm quant aux bataillons ils ont presque la même composition que ceux des Divisions de Fusiliers exceptés pour leur appuis propre, seulement deux mortiers de 82mm et six mitrailleuses.

Le Bataillon de Reconnaissance et du même type que pour la Division de Fusiliers.

Le Régiment de Chars est à cinq Bataillons de trois Compagnies de dix-sept BT-7 soit un total, avec les chars de commandement, de deux cent soixante et onze BT-7.

L’Artillerie regroupe cinq bataillons de trois batteries de quatre pièces, un de 76mm, un de 122mm et un de 152mm, un de DCA à deux batteries de 37mm et une de 76mm et un bataillon de 45mm Antichar (six pièces par batterie).

Il n’y a qu’une compagnie de pontonniers dans le bataillon de Génie, les autres sont des compagnies de pionniers.

Le Corps Mécanisé, du fait de sa plus grande dotation en infanterie, était certainement l’unité la mieux équilibrée et la plus autonome. Avec ses 18000 hommes, elle est cependant un peu lourde et manque aussi d’artillerie lourde.

IV – Division de Cavalerie

L’artillerie et les escadrons de mitrailleuses sont équipés d’affûts hippomobiles.

L’Armée Blindée

L’étape suivante fut la création d’Armées Blindées destinée à servir de fer de lance de chaque nouvelle offensive.

Le Bataillon de reconnaissance comprend une compagnie de chars moyens T34, le bataillon de chars (T34) et le régiment de chars lourds (JS2) ont une organisation classique à deux compagnies de 10 chars plus un chars de commandement soit 21 engins. Les Brigades d’Artillerie comptent 4 bataillons d’obusiers ou de canons automoteurs alors que le Régiment de Katyushka n’en comporte que 2.

 


  


Posté le par Cap_Dan
 


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Re: Les grandes unités de l\'Armée Rouge (Score: 1)
par STEELPANTHER25 le Sunday 03 August 2008 10:39:43
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Du bon travail ... comme d''habitude ! ...


Steel



Re: Les grandes unités de l\'Armée Rouge (Score: 1)
par pelle_US le Tuesday 05 August 2008 09:51:23
(Profil utilisateur | Envoyer un message)
Une étude rapide et très intéressante qui permet de mieux comprendre les raclées de 1941 : merci à l''auteur

Pelle_US


 
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