Tiens un revenant
Ca n'a pas duré bien longtemps
Bon allez c'est reparti pour un tour .
Petit rappel :
La question est simple :
1 Quel est le meilleur char de la guerre (le précurseur de tous les chars modernes) et qui fut une révélation à sa sortie et une très mauvaise surprise pour l'adversaire ?
La réponse selon mes sources c'est le T34/76 voici les sources :
"
Le T34 mérite probablement d"être reconnu comme le char le plus important de la seconde guerre mondiale,..... parcequ'il à servi de modèle à des chars de tous les pays à commencer par le célèbre Panther allemand"
Source :Le livre " L'aventure des chars " page 114 à 117
Autre source :
" Le char moyen soviétique est une douloureuse surprise pour les équipages de Panzer . Les allemands sont en effets persuadés que les russes son incapables de concevoir un blindé supérieur aux leurs.
En effet le T34 surclasse tous ses adversaires dans les domaines de la mobilité, la puissance de feu et la protection . Il est même quasiment invulnérable aux distances usuelles de combats et seuls les canons de 8.8cm Flak peuvent en venir à bout sans être obligés de s'approchés de trop près . "
Revue TNT : HS N° 3 " Char de combat soviétiques "
" Le T34
fut sans doute le meilleur char de la Seconde Guere mondiale . Il combinait avec succés les 3 principaux atouts d'un char : Mobilité , Blindage , et puissance de feux...."
Livre : Armes et Armement de la Seconde Guerre Mondiale Alexander Lüdeke Page 114 et 115 .
"Le T34 était un char robuste
amirablement conçu combinant à un degré supérieur les qualités essentielles de puissance de feu , mobilité et protection . Trait caractéristiques, le blindage trés incliné à l'avant qui réduisait beaucoup la puissance perforante des obus emnemis "
Blindés : Erric Morris page 78-79
" Le choc provoqué au sein des unités de la Wehmarcht par l'apparition du T34 sur le front russe au cours de l'été 1941 est unique dans l'histoire militaire contemporaine.
Le T34 engendra une révolution dans la conception des chars .Réalisé par des concepteurs visionnaires , capables d'envisager mieux que quiquonque à l'époque ce à quoi pouvait ressembler , un champ de bataille au XXe s "
Source : Char et véhicule blindés de Robert Jakson T34 page 102 et 103
Source Opération Babarossa T2 L'offensive du Nord vers Leningrad
Edition Osprey Publishing
DES CANONS ANTICHARS CAPTURÉS POUR DÉTRUIRE DES CHARS SOVIÉTIQUES T-34, JUILLET 1941 (PAGE 62)
Pendant l'entre-deux-guerres, l'URSS domina le domaine de la conception des chars. Les chars principaux, dans
l'armement innovateur des Soviétiques, étaient les T-34. Les purges de Staline avaient retardé leur mise au point, mais les T-34 étaient disponibles en grand nombre au moment de Barbarossa Il y avait aussi un char similaire, mais plus lourd, utilisant le même canon, le KV-1, et sa variante en appui d'infanterie, le KV-2. Les renseignements militaires allemands avaient connaissance de l'existence de ces blindés à la fin de l'année 1940, mais la nouvelle mit du temps à parvenir aux forces sur le terrain. La plupart des témoignages allemands portant sur les unités indiquent que les premières rencontres des groupes avec ces chars furent des événements très significatifs. Quatre jours après le début de Barbarossa, les experts de l'armée allemande montrèrent à Hitler leurs nouveaux modèles de chars, au quartier général de Prusse Orientale du Führer. L'armement antichar allemand courant échoua lamentablement contre les nouveaux blindés soviétiques. Les canons des Panzer et des bataillons antichars étaient inadéquats. Il n'était pas rare que les chars soviétiques reçoivent des dizaines, voire des centaines d'impacts, sans effets notables. Un tir chanceux pouvait atteindre une partie vulnérable, comme le système optique, la tourelle, ou bien une partie de la suspension pouvait parfois neutraliser un char. Sinon, les équipages de Panzer essayaient de se placer derrière un char soviétique et visaient l'arrière des véhicules, au blindage léger. Par nécessité, les tactiques allemandes dépendaient donc des techniques de pilotage médiocres de l'Armée rouge, de l'entretien inexistant des véhicules, ou de l'incapacité des Soviétiques à ravitailler leurs blindés en carburant ou en munition. Ces chars énormes, et par ailleurs invulnérables, pouvaient aussi être poussés dans des marais, tomber en panne, ou s'arrêter faute de carburant. Souvent, c'était seulement quand les blindés
soviétiques étaient dans cet état d'impuissance que les Allemands parvenaient à les vaincre. Cependant, tandis que l'Ostheer progressait, des milliers de pièces d'équipement de l'Armée rouge furent capturées, parce qu'elles avaient été abandonnées par des défenseurs qui battaient en retraite, ou après avoir été rassemblées lors d'énormes encerclements. D'importantes quantités de munitions soviétiques furent également saisies dans des dépôts d'approvisionnement. Le canon antichar ZiS-3 de 76 mm (1) était une modification d'un canon de campagne standard de la même taille.
Comme le T-34 et l'avion II-2 Sturmovik, le ZiS-3 est reconnu comme l'une des meilleures armes de la Seconde Guerre mondiale. Autre expédient sur le terrain pour détruire les blindés soviétiques, les Allemands devinrent des experts quand ils s'agissait de retourner ces armes de qualité contre leurs anciens propriétaires, quelques minutes après les avoir capturées. Les servants allemands des canons antichars délaissaient vite leur propre équipement et tournaient les pièces d'artillerie de l'Armée rouge capturées à 180°. On voit ici des membres de la 269' Division d'Infanterie tenter d'aller aussi une que le Corps de Panzer XLI de Reinhardt, tandis que celui-ci traverse un terrain marécageux entre la rivière Velikaïa et le fleuve Louga. Les Landsers occupent des positions défensives temporaires, mais dès qu'ils creusent le moindre trou, celui-ci se remplit d'eau saumâtre (2). Les servants allemands des canons antichars se préparent à mettre une pièce d'artillerie en service (3).
Quelques escouades d'infanterie assurent la sécurité des flancs (4). Soudain, ils entendent le grondement caractéristique du moteur d'un char, accompagné par le crissement du métal contre le métal et des chenilles sur les pignons. De l'autre coté de la prairie marécageuse, un T-34 sort de la limite des arbres, sur un chemin forestier (5). Il y a un tir, un impact, mais pas la destruction recherchée. Ils rechargent pour essayer de nouveau, tandis que la tourelle du char pivote pour déterminer d'où vient le danger. (Peter Dennis)
Remarques sur vos interventions
"Il n'y a pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir " serait plus approprié pour internet
Maintenant si vous avez un problème d'interprétation avec celles ci , ce qui semble être le cas, n'hésitez surtout pas à écrire aux auteurs des articles et à nous transmettre les réponses .
Et si le cas échéant je me suis trompé , je n'hésiterai pas à presenter mes plus plates excuses.

J'attends ....