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STEELPANTHER25
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Non 
, ... pattes de collet du service de sant? ? ...
Le miroir de la prudence enlac? par le serpent d?Epidaure avec au dessus des feuilles de laurier et en dessous les feuilles de ch?ne
, ... pattes de collet du service de sant? ? ...
Le miroir de la prudence enlac? par le serpent d?Epidaure avec au dessus des feuilles de laurier et en dessous les feuilles de ch?ne
"Cry Havoc" ...
"C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son ...
Que certains paraissent brillants avant d'avoir l'air c..."
"C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son ...
Que certains paraissent brillants avant d'avoir l'air c..."
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STEELPANTHER25
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Trop tard!
Bravo Moumoune 
Fran?ois Jacob est n? le 17 juin 1920 ? Nancy ; son p?re ?tait administrateur de soci?t?s.
Il commence ses ?tudes au lyc?e Carnot et les poursuit ? la facult? de M?decine de Paris avec l'intention de devenir chirurgien.
Il se trouve encore ?tudiant lorsque la guerre ?clate. De Saint-Jean-de-Luz, il embarque le 21 juin 1940 ? bord du Batory, b?timent polonais, ? destination de l?Angleterre et s'engage dans les Forces fran?aises libres ? Londres le 1er juillet.
Ne pouvant obtenir de servir dans l?artillerie, il est nomm? m?decin auxiliaire le 15 ao?t 1940 et prend part ? l'exp?dition de Dakar.
Il participe ensuite ? la fin de la campagne du Gabon en novembre 1940.
Fran?ois Jacob
Affect? au R?giment de tirailleurs s?n?galais du Tchad (RTST), il sert dans diff?rents postes tchadiens en qualit? de m?decin-chef de la 12e Compagnie du R?giment avec un d?vouement constant et un rare m?rite.
Promu m?decin sous-lieutenant en septembre 1942, Fran?ois Jacob prend part aux campagnes du Fezzan avec la Colonne Leclerc, future 2e Division blind?e, et ? celles de Tripolitaine et de Tunisie, se distinguant par son courage. Ainsi, ? maintes reprises, il se poste en premi?re ligne et en ram?ne des bless?s sous le feu de l'ennemi. Bless? lui-m?me le 10 mai 1943 au Djebel Garci, par des ?clats de mortier au bras, il n'accepte de quitter la ligne de feu que le 11 au matin, apr?s s'?tre assur? de l'imminence de son remplacement par un autre officier de Sant?.
Il est ensuite affect? au 13e Bataillon m?dical de la 2e DB.
Le 8 ao?t 1944, huit jours apr?s le d?barquement en Normandie de la 2e DB ? Utah Beach, il est gri?vement bless? au bras et ? la jambe par 80 ?clats de grenade a?rienne, en relevant des bless?s ? Mortain. Evacu? sur Cherbourg, puis sur Paris, est nomm? m?decin lieutenant ? titre exceptionnel le 10 novembre 1944.
Sorti de l?h?pital du Val-de-Gr?ce le 30 janvier 1945 apr?s six mois de soins, il est de nouveau hospitalis? deux mois jusqu?au 4 avril 1945. Il est d?mobilis? le 15 septembre suivant.
Apr?s la guerre, Fran?ois Jacob termine ses ?tudes de M?decine et soutient une th?se de Doctorat en M?decine ? Paris en 1947.
Ne pouvant faire de chirurgie ? cause de ses blessures, il s'essaie ? diff?rents m?tiers avant de se tourner vers la Biologie. Il obtient une licence ?s-sciences en 1951, puis un Doctorat ?s-sciences en 1954 ? la Sorbonne.
En 1950, Fran?ois Jacob entre ? l'Institut Pasteur dans le service du Docteur Andr? Lwoff. Il est successivement nomm? Chef de laboratoire en 1956, puis en 1960 Chef du service de G?n?tique cellulaire r?cemment cr?? ? l'Institut Pasteur.
En 1964, il est nomm? Professeur de G?n?tique cellulaire au Coll?ge de France.
Il a principalement travaill? sur les m?canismes g?n?tiques des bact?ries et des virus bact?riens, sur les transferts d'information g?n?tique et les m?canismes r?gulateurs de la cellule bact?rienne.
Au cours des ann?es, il a travaill? sur la T?ratocarcinome de la souris comme mod?le permettant d'?tudier le d?veloppement embryonnaire chez la souris.
Avec plusieurs centaines d?articles, il a publi? deux livres scientifiques : Les bact?ries lysog?nes et la notion de provirus et, avec Elie Wollman, Sexuality and the genetics of bacteria. En outre, il a publi? deux ouvrages plus g?n?raux : La logique du vivant, une histoire de l'h?r?dit? et Le jeu des possibles, essai sur la diversit? du vivant ainsi que ses souvenirs de guerre dans La Statue int?rieure.
Fran?ois Jacob a re?u plusieurs prix scientifiques fran?ais et notamment le prix Charles L?opold Mayer de l'acad?mie des Sciences (1962). En 1965, il a re?u avec Andr? Lwoff et Jacques Monod, le Prix Nobel de Physiologie ou M?decine.
Il est devenu membre ?tranger de l'Acad?mie royale des Lettres et Sciences du Danemark (1962), de l'American Academy of Arts and Sciences (1964), de la National Academy of Sciences des Etats-Unis (1969), de l'American Philosophical Society (1969), de la Royal Society ? Londres (1973), de l'Acad?mie Royale de M?decine de Belgique (1973). Il est membre de l'Acad?mie des Sciences de Paris depuis 1977.
De 1982 ? 1988, Fran?ois Jacob pr?side le conseil d?administration de l?Institut Pasteur.
Elu ? l'Acad?mie fran?aise en 1996, il devient membre du Conseil de l'Ordre de la Lib?ration en juillet 1997.
Par d?cret du 12 octobre 2007, M. le professeur Fran?ois Jacob est nomm? chancelier de l'Ordre de la Lib?ration.
? Grand Croix de la L?gion d'Honneur
? Compagnon de la Lib?ration - d?cret du 17 novembre 1945
? Grand Officier de l'Ordre National du M?rite
? Croix de Guerre 39/45 (5 citations)
Principales publications :
? La logique du vivant, Paris 1970
? Le jeu des possibles : essai sur la diversit? du vivant, Paris 1986
? La statue int?rieure, Paris 1987
? La Souris, la mouche et l'homme, Paris 1997.
Source
Fran?ois Jacob est n? le 17 juin 1920 ? Nancy ; son p?re ?tait administrateur de soci?t?s.
Il commence ses ?tudes au lyc?e Carnot et les poursuit ? la facult? de M?decine de Paris avec l'intention de devenir chirurgien.
Il se trouve encore ?tudiant lorsque la guerre ?clate. De Saint-Jean-de-Luz, il embarque le 21 juin 1940 ? bord du Batory, b?timent polonais, ? destination de l?Angleterre et s'engage dans les Forces fran?aises libres ? Londres le 1er juillet.
Ne pouvant obtenir de servir dans l?artillerie, il est nomm? m?decin auxiliaire le 15 ao?t 1940 et prend part ? l'exp?dition de Dakar.
Il participe ensuite ? la fin de la campagne du Gabon en novembre 1940.
Fran?ois Jacob
Affect? au R?giment de tirailleurs s?n?galais du Tchad (RTST), il sert dans diff?rents postes tchadiens en qualit? de m?decin-chef de la 12e Compagnie du R?giment avec un d?vouement constant et un rare m?rite.
Promu m?decin sous-lieutenant en septembre 1942, Fran?ois Jacob prend part aux campagnes du Fezzan avec la Colonne Leclerc, future 2e Division blind?e, et ? celles de Tripolitaine et de Tunisie, se distinguant par son courage. Ainsi, ? maintes reprises, il se poste en premi?re ligne et en ram?ne des bless?s sous le feu de l'ennemi. Bless? lui-m?me le 10 mai 1943 au Djebel Garci, par des ?clats de mortier au bras, il n'accepte de quitter la ligne de feu que le 11 au matin, apr?s s'?tre assur? de l'imminence de son remplacement par un autre officier de Sant?.
Il est ensuite affect? au 13e Bataillon m?dical de la 2e DB.
Le 8 ao?t 1944, huit jours apr?s le d?barquement en Normandie de la 2e DB ? Utah Beach, il est gri?vement bless? au bras et ? la jambe par 80 ?clats de grenade a?rienne, en relevant des bless?s ? Mortain. Evacu? sur Cherbourg, puis sur Paris, est nomm? m?decin lieutenant ? titre exceptionnel le 10 novembre 1944.
Sorti de l?h?pital du Val-de-Gr?ce le 30 janvier 1945 apr?s six mois de soins, il est de nouveau hospitalis? deux mois jusqu?au 4 avril 1945. Il est d?mobilis? le 15 septembre suivant.
Apr?s la guerre, Fran?ois Jacob termine ses ?tudes de M?decine et soutient une th?se de Doctorat en M?decine ? Paris en 1947.
Ne pouvant faire de chirurgie ? cause de ses blessures, il s'essaie ? diff?rents m?tiers avant de se tourner vers la Biologie. Il obtient une licence ?s-sciences en 1951, puis un Doctorat ?s-sciences en 1954 ? la Sorbonne.
En 1950, Fran?ois Jacob entre ? l'Institut Pasteur dans le service du Docteur Andr? Lwoff. Il est successivement nomm? Chef de laboratoire en 1956, puis en 1960 Chef du service de G?n?tique cellulaire r?cemment cr?? ? l'Institut Pasteur.
En 1964, il est nomm? Professeur de G?n?tique cellulaire au Coll?ge de France.
Il a principalement travaill? sur les m?canismes g?n?tiques des bact?ries et des virus bact?riens, sur les transferts d'information g?n?tique et les m?canismes r?gulateurs de la cellule bact?rienne.
Au cours des ann?es, il a travaill? sur la T?ratocarcinome de la souris comme mod?le permettant d'?tudier le d?veloppement embryonnaire chez la souris.
Avec plusieurs centaines d?articles, il a publi? deux livres scientifiques : Les bact?ries lysog?nes et la notion de provirus et, avec Elie Wollman, Sexuality and the genetics of bacteria. En outre, il a publi? deux ouvrages plus g?n?raux : La logique du vivant, une histoire de l'h?r?dit? et Le jeu des possibles, essai sur la diversit? du vivant ainsi que ses souvenirs de guerre dans La Statue int?rieure.
Fran?ois Jacob a re?u plusieurs prix scientifiques fran?ais et notamment le prix Charles L?opold Mayer de l'acad?mie des Sciences (1962). En 1965, il a re?u avec Andr? Lwoff et Jacques Monod, le Prix Nobel de Physiologie ou M?decine.
Il est devenu membre ?tranger de l'Acad?mie royale des Lettres et Sciences du Danemark (1962), de l'American Academy of Arts and Sciences (1964), de la National Academy of Sciences des Etats-Unis (1969), de l'American Philosophical Society (1969), de la Royal Society ? Londres (1973), de l'Acad?mie Royale de M?decine de Belgique (1973). Il est membre de l'Acad?mie des Sciences de Paris depuis 1977.
De 1982 ? 1988, Fran?ois Jacob pr?side le conseil d?administration de l?Institut Pasteur.
Elu ? l'Acad?mie fran?aise en 1996, il devient membre du Conseil de l'Ordre de la Lib?ration en juillet 1997.
Par d?cret du 12 octobre 2007, M. le professeur Fran?ois Jacob est nomm? chancelier de l'Ordre de la Lib?ration.
? Grand Croix de la L?gion d'Honneur
? Compagnon de la Lib?ration - d?cret du 17 novembre 1945
? Grand Officier de l'Ordre National du M?rite
? Croix de Guerre 39/45 (5 citations)
Principales publications :
? La logique du vivant, Paris 1970
? Le jeu des possibles : essai sur la diversit? du vivant, Paris 1986
? La statue int?rieure, Paris 1987
? La Souris, la mouche et l'homme, Paris 1997.
Source
Ora et Labora - La Vérité est fausse: je ment pour la rétablir
Membre de l'Alison T.34 Rider CLUB
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Ben, tien!! Les bais?s comptez vous!!! 
Je suis pas l? pour suppl?er un parrain somnoleux et le futur gagnant du tour de France, moa
Alors vous voulez une ?nigme???
En voici une, ? tiroir, bien cors?e
En Quoi cette honorable personnage a t'il jouer un r?le dans la seconde guerre mondiale?
Je vous conseil de proc?der m?thodiquement.
Mais vous ferez bien comme vous voudrez...
Je suis pas l? pour suppl?er un parrain somnoleux et le futur gagnant du tour de France, moa
Alors vous voulez une ?nigme???
En voici une, ? tiroir, bien cors?e
En Quoi cette honorable personnage a t'il jouer un r?le dans la seconde guerre mondiale?
Je vous conseil de proc?der m?thodiquement.
Mais vous ferez bien comme vous voudrez...
"En langage clinique, on appelle ça un paranoïaque, en langage militaire un brigadier."
Un taxi pour Tobrouk (1961), M. Audiard.
Un taxi pour Tobrouk (1961), M. Audiard.
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Le tartan n'est pas assorti ? la cravate 
! ? ... peut-on glaner des renseignements utiles sur la tenue ? (? part que c'est un ?cossais, ce qu'avait vu Gex64, bien judicieusement ... 
) ...
! ? ... peut-on glaner des renseignements utiles sur la tenue ? (? part que c'est un ?cossais, ce qu'avait vu Gex64, bien judicieusement ... ) ... "Cry Havoc" ...
"C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son ...
Que certains paraissent brillants avant d'avoir l'air c..."
"C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son ...
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