A l’Est, l’attaque de Blutch nous fait l’effet d’un rouleau compresseur, notre second P IVJ ( précoce ) est détruit, par le Sherman, il ne nous reste plus qu’ un P IV.
60 secondes plus tard ce même Sherman se fera vertement semencer par le dernier panzer ; trois coups au but, et il est bon pour la casse (noter que ce même panzer stoppe une tentative d’infiltration du centre par les sapeurs : à droite sur la photo)
Il n’y a pas que le caporal Blutch qui joue au passe muraille ; ici, nos sapeurs appuient le Ninja 88…
Pour finir par fuir comme dab (sérieux, faudra m’expliquer pourquoi dés que je joue avec les Allemands, ils fuient comme cela, alors que se sont des vétérans…)
Le destin nous offre une friandise ; j’espérai pouvoir pécher un poisson dans l’encoignure entre ces deux baraques, et hop c’est chose faite ; un M10 de moins ( il en a tellement )
D’ailleurs, en voilà deux de plus qui apparaissent au Nord ; ils attendaient le KN, et ils ne doivent leur salut qu’au seul fait que mon panzerschrecks soit un gros manchot
Ils ratent aussi celui là…
Pourtant, ils n’avaient pas trop la pression, couvert qu’ ils étaient de façon efficace ( ici à nous les marlboro, et merde j’ ai arrêté de fumer )
J’avais récupérer le clocher, mais je l’ai perdu à nouveau à cause d’un engin lourd.
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Pareil pour ces deux maisons au Nord ; Blutch est une vraie teigne, il les a récupéré en un tour de main, profitant d’ un manque de soutient
Quoiqu’il en soit, ont ne lui facilite pas la tache ; sont axe de progression est constamment bombardé
Et ces chars avancent difficilement
De notre coté, ont rassemble les morceaux de soldats morts… pour réassembler de nouveaux ubersoldats et contre-attaquer, avec l’appui du groupe steiner ( ici : les SPW jouent les ambulances…)
Aeffe commence à être en ruine
