L'AARt des choix, Coeur fidèle.

[LeDens]

Le Général Ding Chavez .....

Hmm... Vous oubliez il me semble son Bâton de Maréchal Affien Cap Dan...

[Cap_Dan]

Depuis que mon bâton de maréchal a disparu lors d'uine sauvegarde du site et que je suis retombé Général de division, je ne reconnais plus les maréchaux afiens...


Comment j'ai mauvais caractère ?

[LeDens]

...L'informatique ne devrait jamais se mêler du militaire mais ne soyons pas naïf que voulez vous mon cher.... regardez moi par exemple....Ministre de la défense, ce n'est pas ma tasse de thé et je crains fort que tout cela ne cache de sombres projets que je ne saurais promouvoir ...
Les horreurs de la guerre m'ont confirmé dans mes convictions pacifistes et humanitaires.
Cependant nous ne pouvons nous laisser distancer par quiconque sous peine de voir notre parole ne peser guère plus qu'une plume au vent dans la cour des grands...

Enfin...pour ma part, je ne suis pas partisan du cumul des mandats, Gamelin devrait laisser le poste de chef de l'armée de terre... et bien que les idées de Ding Chavez ne soient pas dénuées de bon sens il m'apparait plus utile de profiter de vos capacités de gestionnaire.

Un gain de 10% sur notre consommation nous permettra des exportations plus importantes. Nos finances sont au plus bas... le pays est instable... ce gouvernement ne tiendra pas longtemps quoi que l'on fasse...

[LeDens]

[LeDens]

....Il nous faut un spécialiste de la défense aérienne ou de la chasse !

"Le 1er avril 1933, le décret qui officialise la création de l’armée de l’air est promulgué. Vingt-quatre années séparent cet acte fondateur de l’achat, en septembre 1909, des cinq premiers aéroplanes dont s’est alors dotée la direction du Génie. Deux décennies jalonnées d’espoirs et de difficultés, où les efforts incessants de deux ministres de l’air, Laurent-Eynac et Pierre Cot, s’avèrent impératifs pour que l’armée de l’air puisse voir le jour.

À son arrivée au ministère de l’air, le 31 janvier 1933, Pierre Cot est convaincu qu’à l’instar de la Grande-Bretagne, en 1918, et de l’Italie depuis 1927, la France doit se doter d’une armée de l’air. Il sait que Laurent-Eynac s’est battu en vain pour cette idée, ses services ayant déposé six projets de loi dès 1929, violemment rejetés par la Marine et par l’armée de terre.

À l’évidence, ces deux armées redoutent ll’apparition d’une nouvelle entité dans le système militaire, dont la présence se traduirait inévitablement par une diminution de leurs budgets respectifs. Plus encore, ils repoussent la doctrine que prônent les aviateurs, basée sur l’emploi en masse des unités sous le commandement unique d’un responsable aérien, la recherche de la supériorité aérienne, ainsi que la spécialisation des missions, chasse et bombardement. Le général italien Giulio Douhet se fait le défenseur de ces concepts dans son ouvrage « La maîtrise de l’air » où il insiste sur la primauté de l’aviation de bombardement, à vocation stratégique, chargée d’anéantir toutes les ressources de l’adversaire. Il rencontre un franc succès auprès des aviateurs français que ll’on qualifie alors de « douhétiens ». Nombre de responsables terrestres considèrent cette conception, dite d’une « aviation réservée », comme extrémiste. Ils demeurent attachés à une « aviation organique » où les unités aériennes sont dispersées au sein des corps d’armée et interviennent pour des missions de coopération : réglage d’artillerie, reconnaissance ou soutien de la bataille au sol.

Pierre Cot a clairement conscience que, face à une telle impasse intellectuelle, ses connaissances juridiques – il est agrégé de droit – et aéronautiques – il fut un temps membre de la Commission parlementaire de l’aéronautique – sont insuffisantes. Le général Victor Denain, grande figure de l’aéronautique, lui apporte sans tarder l’écoute et le soutien nécessaires pour accomplir la lourde tâche qui lui est confiée. Denain, fervent douhétien, parvient à convertir Pierre Cot à cette nouvelle approche en matière de Défense.

La compréhension profonde qui lie rapidement les deux hommes sur leur vision de la future armée de l’air se traduit par la nomination du général Denain, dès le 7 février, au poste de chef d’état-major général des forces aériennes. Leurs efforts conjugués vont porter rapidement leurs fruits.

Le dernier obstacle à la création de l’armée de l’air demeure donc au sein de l’armée de terre. La controverse s’avère des plus dures lors des séances du Haut Comité militaire, des 20 et 27 mars 1933, où Pierre Cot et le général Weygand, chef d’état-major général de l’armée de terre, exposent leurs divergences. Au ministre qui défend les principes douhétiens, le général Weygand oppose un discours maintes fois répété sur la simultanéité de la bataille terrestre et aérienne, par le biais de missions de coopération, sans qu’aucune entente soit possible.

Le maréchal Pétain, autorité incontestée, se voit confier la mission d’arbitrer ce conflit. Son expérience lors des combats de Verdun, où il a demandé le concours du commandant de Rose, père fondateur de la chasse, l’a conduit à une approche plus audacieuse sur le rôle de l’aviation que la plupart des autres responsables terrestres. Son ami le lieutenant-colonel Vauthier, vulgarisateur de Douhet, a su renouveler l’intérêt du maréchal pour l’aviation en lui faisant connaître les écrits du général italien. Il n’est dès lors guère étonnant que Pétain obtienne un compromis entre les deux parties, entériné par le décret du 1er avril, portant l’armée de l’air sur les fonts baptismaux. Ce texte stipule, dès son article premier, que « l’armée de l’air doit être capable de participer aux opérations aériennes, aux opérations combinées avec les armées de
terre et de mer, et à la défense aérienne du territoire. L’armée de l’air doit être organisée, iinstruite et entraînée dans ce triple but ». Ce texte satisfait tout autant Pierre Cot que le général Weygand, le premier voyant reconnus les principes douhétiens dans les termes d’« opérations aériennes », tandis que le second considère maintenue l’aviation organique, par le biais des « opérations combinées ». Toutefois, le différend doctrinal n’est pas réellement résolu et risque de peser lourdement sur le destin de la toute jeune armée de l’air, dont l’existence demeure purement formelle et à laquelle il faut donner corps.

Les litiges ne vont pas tarder à refaire surface avec le projet de statut organique de l’armée de l’air. Le texte, déposé pourtant par le ministère dès le 31 mars 1933, n’est proposé qu’après amendement au vote de la Chambre des députés, le 16 novembre, en raison de pressions multiples, tant au niveau du gouvernement que du Parlement. Il lui faut encore « faire la navette » vers le sénat pour être définitivement adopté par la loi du 2 juillet 1934, véritable charte fondatrice de l’armée de l’air le Parlement par la loi du 2 juillet 1934. Véritable charte de fondation de l’armée de l’air, cette loi donne forme à la nouvelle armée qui, en vertu du décret du 1er avril 1933, ne connaît à ce jour d’existence que
sur le papier.
L’organisation présentée dans la loi du juillet 1934 repose sur le principe de la division du territoire en cinq régions aériennes, commandées par un officier général dépendant directement du ministère de l’air. Les forces aériennes « réservées » sont, pour leur part, placées sous la responsabilité d’un officier général de l’armée de l’air, tandis que les forces aériennes « organiques », à la disposition de l’armée de terre, bien que commandées par un officier général de l’armée de l’air, demeurent placées sous la tutelle d’un officier général terrestre. Par ailleurs, en période d’hostilité, l’organisation est totalement bouleversée, les unités alors subordonnées aux régions aériennes, elles-mêmes réparties entre de nouveaux commandements qui n’existent pas en temps de paix. Une telle organisation rend donc impossible, pour le commandant en chef des forces aériennes, la conduite d’une manœuvre aérienne d’ensemble et témoigne de la difficulté des aviateurs à imposer leurs vues en matière doctrinale. Entretemps, Pierre Cot a laissé son portefeuille de ministre au général Denain, qui lui succède depuis le 19 février 1934

Ce dernier va devoir prolonger et achever l’oeuvre entreprise depuis le début de l’année 1933.
Il lutte pied à pied dans les couloirs du Parlement pour obtenir le vote de la loi du 2 juillet 1934, ainsi que de celle du 7 juillet permettant le lancement du plan I de rénovation et de réarmement des forces aériennes.

Démonstration au Bourget

[william44]

Les oppositions sont représentées ?

tu as des possibilités d'être renversé (perdre ta majorité législative, ou subir un coup d'etat) et de voir une autre politique ou d'autres hommes t'être imposés par les fachistes de l'extreme gauche chrétienne-leniniste ?

ou au contraire, tes politiques seront en place sans considération de l'opinion de le rue et des députés ?

[Cap_Dan]

Je suis contre la création d'une armée de l'air. Il y a déjà trop de dissesions entre les différentes composantes de l'armée de terre et de la marine. Cette création ne fera qu'amplifier les problèmes.

[DingChavez]

Je suis d'accord, surtout que j'ai vu dans ma boule de cristal que vers l'horizon 2010 on reviendrai à une interarmisation pourrie et à des budgets de la défense dignes du Ghana.

[LeDens]

Les oppositions sont représentées ?

tu as des possibilités d'être renversé (perdre ta majorité législative, ou subir un coup d'etat) et de voir une autre politique ou d'autres hommes t'être imposés par les fachistes de l'extreme gauche chrétienne-leniniste ?

ou au contraire, tes politiques seront en place sans considération de l'opinion de la rue et des députés ?

Des événements historiques surviennent régulièrement dans le jeu... nous sommes à la veille du Front populaire...
Il y a trois factions dans le jeu......les Alliés dont nous ne faisons pas encore partie (nous sommes dans la "petite entente"), le Kominterm et l'Axe qui n'existe pas encore...

Chaque pays leader de sa faction peut y inviter des pays "non alignés" c'est le cas des Anglais, Russes et Allemands....
Tant que nous ne faisons pas partie des alliés, nous sommes libres de former notre propre alliance et de nous aligner sur n'importe quelle faction.

C'est en usant de notre diplomatie et de nos services secrets que nous pouvons influencer les autres pays.
Nos services secrets peuvent être utilisés, "en interne", à soutenir le parti en place

Au niveau politique des choix et décisions nous sont proposés, ceux-ci entrainant de bonnes ou malheureuses conséquences.

Trois indicateurs nous permettent de surveiller notre pays dans le domaine politique et nos espions nous permettent d'avoir un regard ou une action sur les autres nations :






Chaque pays a un Gouvernement – un groupe de leaders qui dirige leur pays. Dans HOI 3, ce Gouvernement est représenté par le joueur, par les Ministres et les Leaders de l’armée que vous avez nommés, ainsi que par les Décisions, les Lois et autres choix que vous avez faits au cours de la partie.
Alors que vous – le joueur – êtes en sécurité et ne risquez pas d’être remplacé, cela n’est pas toujours valable pour le Gouvernement actuel et les Ministres de votre pays.
Vous ne pouvez que choisir des Ministres qui sont alignés sur la politique du Parti actuellement au pouvoir dans votre pays, ce que vous ne contrôlez pas totalement.
Chaque pays a un Parti politique au pouvoir. Ce Parti existe au début de la partie et restera probablement en
place jusqu’à ce que des Élections aient lieu, qu’un Coup d’état ou une Révolution se produisent ou qu’un autre
Événement du jeu l’évince.
Quand un Parti n’est plus au pouvoir, un autre Parti prend sa place et les Ministres de votre choix peuvent être échangés ou pas, selon la raison du changement de pouvoir.

Idéologie

Chaque Gouvernement suit une Idéologie. Le joueur ne peut pas contrôler l’Idéologie, elle correspond au Parti qui l’adopte. Quand un nouveau Parti prend le pouvoir, l’Idéologie du Gouvernement de ce pays peut changer ou pas, si le Parti a la même Idéologie.

Ministres

Une des manières d’exercer votre influence sur votre pays est de choisir les Ministres qui feront partie de votre
Gouvernement. Chaque pays a 10 postes de Ministres à pourvoir. Chaque Ministre a sa propre Idéologie, qui peut ou pas correspondre à celle du Gouvernement, un taux de loyauté secret et différentes caractéristiques selon le poste qu’il occupe au Gouvernement. Ils ont également une « date de départ » secrète qui indique à partir de quand ils peuvent être employés.
Chaque caractéristique d’un Ministre détermine quelle partie de votre armée, de votre économie, de votre production et autres sont affectées, positivement ou négativement, par leur nomination. Par exemple votre choix de Premier Ministre affecte principalement en direction de quelle Idéologie votre pays dérivera.
HOI 3 offre une multitude d’Idéologies qui peuvent être représentées par les différents Ministres potentiels de chaque pays. Par exemple, si l’Allemagne devient un pays Socialiste plutôt que Fasciste, des Ministres Socialistes seront alors en poste.

[Cap_Dan]

Je suis d'accord, surtout que j'ai vu dans ma boule de cristal que vers l'horizon 2010 on reviendrai à une interarmisation pourrie et à des budgets de la défense dignes du Ghana.

[Cap_Dan]

Je suis d'accord avec la vision de Ding Chavez concernant l'interarmisation actuelle qui est avant tout un effet politique de gestion, d'autant plus qu'on en profite pour mutualiser encore plus avec la nouvelle politique de défense qui essaie d'englober tout sous des vocables guerrier permettant de confondre les fonctions de police et de l'armée.



Par contre dans le principe je suis malgré tout contre la séparation entre les armées.
La coopération interarmes a été l'un des gros bug de la 2ème GM surtout pour l'armée française.

Mais en 1936 c'est déjà trop tard, l'armée de l'air a été créée il y a deux ans, la réintégrer dans l'armée de terre serait une perte de temps d'argent et d’énergie au moment où nous avons d'autres besoins.

[DingChavez]

En tout cas merci Le Dens, je viens, à cause de toi, de craquer pour l'offre complète de EOI sur steam à -75% (7 euros et quelques pour LA TOTALE !)


Merci donc, de m'avoir donné envie de jouer à un monster game auquel je n'aurai jamais le temps de jouer :-p

'foiré va

[Gurke]

C'est vrai que depuis que je suis l'affaire ça me démange pas mal aussi

[william44]

C'est vrai que depuis que je suis l'affaire ça me démange pas mal aussi

7 euros !

il a dit 7 euros !

[Gurke]

Oui, mais l'autre paramètre c'est le temps dont je dispose

[william44]

bon ,ben j'ai craqué.
par contre il reste encore du temps avant de l'avoir, vu que steam est rpis d'assaut !

et puis j'aime moyen les jeux moddés : visiblement il n'y a pas un jeu, mais chacun fait celui qu'il veut : comment s'y retrouver dans toutes ces options ?

Ma bonne dame, la vie n'est pas simple, tiens, j'vous l'dis moi !

[LeDens]

Je vous ai compris !!:P


Quelle que soit notre politique de défense, elle mobilisera une partie de notre capacité industrielle à travers la production de nouvelles unités...

[LeDens]

Oui, mais l'autre paramètre c'est le temps dont je dispose

Ben la solution ça peut être de jouer comme ça....

Au lieu d'engager une partie en solo ou même en multi et de se laisser gagner par la fièvre.... et passer des heures devant son PC

On joue une partie..... même contre plusieurs adversaire......mais on la déguste !!!

A travers un AAR... un ti Vaar de biaar tranquillement.... en savourant l'histoire

Là je vous propose de jouer la France à plusieurs, chacun intervenant comme conseiller, reporter, ministre, général....tout ce qu'on veut...

Sans forcément s'engager dans un rôle permanent....

La partie n'est toujours pas commencée....on peut la jouer contre l'IA mais un adversaire humain serait tellement plus intéressant (pas forcément meilleur).
J'en ai parlé à Balthaur le créateur du mod Europa First sur lequel nous sommes...

On pourrait même y inclure des batailles de CM...

La plus petite unité de HOI III est la brigade...avec des effectifs variables...

Je dis un adversaire mais il peut y en avoir plusieurs ....tout en gardant ce mode de jeu...

On décide de combien de temps on avance....pas trop ....pour pouvoir commenté......et ainsi de suite

C'est du temps réel pausable..... les heures défilent à une vitesse réglable...

mini = 5s pour 1h et maxi = 2s pour 1 jour

Une fois les décisions prises par le groupe elles sont appliquée par ceux qui se connecte pour jouer....
Car on peut jouer à plusieurs sur le même pays

[LeDens]

La politique française de réarmement de 1936 à 1940

[william44]

ça m'ennerve

ce puutain de jeu ne se lance pas : rien depuis steam, et depuis mon ordi il me parle chinois à propos de DLL.

Je déteste les ordinateurs !