morkern a écrit :...
Je suis contre, en revanche, un sur-découpage des régions incitant à des règles de mouvement complexes que tu évoques, Cappy, sinon on retombe dans les "travers" des autres campagnes...
Bis repetita placent.
Je me suis encore mal exprimé mais c'est normal.
Il faudra des règles de mouvement stratégique sinon il n'y a pas grand intérêt à mettre le relief sur la carte générale. Si tous les déplacement se font d'un nombre fixe de régions alors autant utiliser une carte muette avec juste les région et sans couleur ce sera beaucoup plus lisible.
En fait je pensais garder la première carte stratégique que tu as faite pour l'affichage publique et une vue d'ensemble. Le nombre de régions est alors grandement suffisant. Par contre pour mieux rendre les problèmes de mouvement, sur les cartes opérationnelles on trace les mêmes régions que sur la carte stratégique mais on y ajoute un découpage par zone de relief.
Par exemple sur ta carte stratégique, la zone Provence est notée en Montagne, c'est normal, mais une unité qui remonte par la vallée du Rhône arrivera à Lyon plus vite que celle qui passe par Gap ou Barcelonette. Dopnc j'y mettrai volontiers une case vallonnée à l'est une au sud (la Côte d'Azur) et une veritablement montagneuse au nord-est.
Les mouvements des unités se feraient sur les cartes opérationnelles avec par exemple les vitesse de 1, 2 et 3 comme je l'avait écrit sans plus de complication. Les déplacements sur la carte général seront "indépendant", ils seront réalisés à la main par un arbitre mais ne concerneront que les unités qui change de Région certains mouvements n'étant pas significatifs à ce niveau.
En effet certains mouvements apparaîtront sur la carte stratégique : une unité à Lyon (Provence) qui se déplace d'une case opérationnelle vers le nord entre dans la case opérationnelle Mâcon qui est dans la case stratégique Centre. Donc sur l'affichage opérationnelle l'unité bouge d'une région ainsi que sur la carte stratégique.
En contre partie une unité placé à Montpellier (Languedoc) qui rejoint Carcassonne (Languedoc) ne nécessitera aucune modification sur la carte stratégique même si sur la carte opérationnelle elle se déplace d'une case vers l'ouest.
Sur les case stratégiques on pourrait superposer autant d'unité d'autant de pays que l'on veut sans qu'il y ait conflit alors que sur chaque case opérationnelles, toutes unités ennemies dans une même case entraine combat. Cela permet d'ajouter à la notion de ravitaillement une notion de renforts fournis directement par un autre officier.
Le bataillon (2000pts) de Morkern qui s'était déplacé de Montpellier vers Carcassonne se trouve bloqué par le bataillon du Buntz qui arrive de Toulouse. Morkern est à bonne distance du centre de ravitaillement de Lyon mais celui est juste en capacité de lui fournir les compléments suite à son premier accrochage. Heureusement la compagnie (1500pts) de CapDan qui venait d'arriver à Montpellier pour empêcher l'éventuel débarquement du Bataillon de Gurke actuellement à Alger. CapDan constate que ce dernier a fait mouvement vers Tunis, il tente le coup de poker et envoie directement sa compagnie sous les ordres de Morkern pour finir la libération de Carcassonne au prochain tour.