Alors que la Luftwaffe attaquait chaque nuit Londres, les exploits de ce petit capitaine parti à l'assaut de l'arabie puis de l'Irak défrayait la chronique, alimentait les discussions de tous les pubs.
comme le grand Lawrence avant lui, allait on voir un Kech d'Arabie soulever les tribus nomades contre l'opresseur- cette fois anglosaxon ?
en tout cas, en même temps que son épaulette, il avait reçu quelques centaines de fusils pour équiper une force de bédoins qui représentait presque 50% de son effectif.
tirant le maximum de son mince cordon logistique, il espérait prendre le dernier dépot de l'axe en irak.
Pourtant, en face de lui une unité allemande venait d'arriver. Traversant la hongrie, la roumanie, la turquie, le liban et la Syrie, une unité épuisée prenait ses positions de combats. certes, sans armes lourdes, sans char, sans soutien ou presque, mais conscient d'être la dernière chance de l'axe dans ce coin du monde...
Depuis l'école française des orphelins, un jourmaliste a pu prendre ce cliché de la zone probable des combats :
