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Rapport de FTP-MOI
Les grenadiers (2ème bataille de la campagne Anzio), janvier 44, sol humide, 30+ tours Situation initiale : pour défendre le village d'Asprilia, je dispose d'une compagnie renforcée de grenadiers de la garde de niveau vétéran (soit 4 sections) appuyés par 1 oa (mortier de 3 pouces), 3 vickers et 3 canons ac de 6 livres. En face, de la biffe et quelques panzers dont les moteurs se font déjà entendre. Je dispose une section et 2 des canons sur la gauche et à l'écart du village pour éviter un contournement : les 2 canons sont planqués derrière des maisons et pourront facilement effectuer des tirs de flancs. Dans le village, 2 sections occupent les bâtisses du carrefour nord et la dernière les immeubles de droite. Le troisième canon est planqué derrière des gravats pour couvrir la route de droite. Enfin, je laisse un piat en retrait pour éviter tout rush blindé sur le dernier drapeau.
Après quelques minutes l'infanterie allemande commence à apparaître et avance discrètement (mais pas assez) sur une bonne largeur de la carte. Plusieurs blindés avancent tranquillement sur la route centrale avec quelques morpions accrochés à leurs flancs. Je donne l'ordre à mon oa de balancer quelques prunes en plein milieu de cette joyeuse équipée mais malgré plusieurs corrections elle va s'obstiner à tirer sur mes lignes et réussira bien évidemment à casser un de mes canons et à tuer ou blesser quelques hommes.
De leurs côté, les Panzer commencent à pilonner la façade des 2 immeubles les + exposés du carrefour nord : une de mes vickers déguste salement ainsi que mon pc de compagnie que j'avais eu la très mauvaise idée de placer là. Les 2 immeubles sont rapidement rasés et seul un des membres de mon pc parvient à en réchapper ainsi que 2 des servants de la vicker. L'infanterie moche avance alors en force à travers un barrage de fumigènes et couverte par force mg. Mes 2 autre vickers se découvrent ainsi qu'une partie de ma biffe et réussissent à bloquer une partie des assaillants. Les servants d'une mitrailleuse qui tentait de se faufiler avec eux se font d'ailleurs tailler en pièces. La plus grosse partie parvient néanmoins à rejoindre les gravats des 2 immeubles rasés. Mes 2 vickers restantes sont alors elles aussi prise à partie et vite réduites au silence par les tirs nourris des 6 panzers teutons. La situation est déjà quasi désespérée.
Les 2 sections d'infanterie placées au centre réussissent alors un exploit et parviennent à massacrer plusieurs Gdc qui avancent imprudemment et à fixer les autres. Un Pz III qui s'avançait en soutien rapproché par la rue centrale se fait cueillir par un de mes piat qui l'achève en vidant ses munitions. Pendant ce temps de l'infanterie moche avance par la droite et par la gauche couverte par 2 panthers
Mon infanterie en prends plein la gueule et se fait massacrer allégrement par les panthers. Je réussi cependant à en replier une partie vers l'arrière. Les Pz III qui subsistent au centre avancent eux aussi : je découvre le canon ac planqué dans le village mais il ne réussit pas à percer leur blindage (à moins de 100 mètres !!!) et quelques tirs le réduisent au silence. Je suis au bord de la rupture
En quelques minutes 2 exploits retournent complètement la situation. Mon dernier canon parvient à mettre hs le panther de gauche et à fixer l'infanterie qu'il appuyait. Un piat parvient ensuite, dès son premier tir et à plus de 100 mètres, à toucher et à perforer le blindage du second panther . Son équipage à bien mérité sa victoria cross ! Les débris de mon infanterie bloquent plus ou moins bien ce qu'il reste d'offensive chez les allemande et dans la dernière minute mon canon ac parvient encore à casser un Pz III !
En conclusion que dire sinon merci à l'efficacité de mes piats et d'un de mes canons : la perte de 4 blindés coûte très cher à Panzerbob aussi bien en points qu'en perte de contrôle des drapeaux. Il faut dire que ce scénario est au moins aussi difficile que le premier de la campagne pour le camp attaquant.
Vivement la suite !
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