Bel OB pour cette partie: un peloton de Sherman, 2 Sherman 105, 2 tireurs d'élite, 2 OA de 81 et 1 OA de 105mm. L'infanterie est assurée par une compagnie d'aéroportés US reg. Au vu de la carte, je décide de tenter un mouvement global de mes troupes blindées sur l'objectif principal au centre du village et de les poster en couverture mutuelle. NE JAMAIS FAIRE CA ! Les blindés sont une arme de cavalerie et il faut s'en servir comme telle. J'ai essayé quelque chose et je me suis fait nettoyer: en 2 tours, 3 shermans A4 et les 2 105 étaient transformés en carcasses fumantes contre un PzIVJ qui je suis sur, n'a pas fait exprès de pointer le bout de son canon entre deux bâtiments ! L'ultime Sherman avait été déployé sur l'aile gauche... mais pour la forme. Mon infanterie avait rapidement pris position en couverture à proximité de deux objectifs du village. Elle n'a rien pu faire sans son appui blindé, cédant sous les obus des canons d'assaut adverses. Un mouvement d'enveloppement de mon flanc gauche par une section de sturm m'a conforté dans l'idée qu'il ne servait plus à rien de faire de la figuration et j'ai déposé les armes deux tours avant la fin effective de l'affaire. Bien joué Genbriec , vive la Bretagne Libre et pardonne moi pour tous les pruneaux que ton infanterie a pu se recevoir, il fallait bien que mes OA puissent justifier de leurs dotations ! ;o)

Un village légèrement décentré sur ma gauche regroupe les 4 drapeaux objectifs, 1 gros au centre du village et 3 petits; l'un des petits est plus proche de mes lignes, les 3 autres, sur une même ligne sont plutôt chez Taeyang. Après une approche prudente du village par l'infanterie, je m'aperçois que le village est occupé par moultes blindés ennemis. Une pluie d'obus américains commence alors à tomber et elle ne cessera pas jusqu'à la fin. Ayant réussi à faire progresser à couvert mes blindés, j'arrive à prendre les siens du village quasiment par les flancs et aucun n'en réchappe. La progression pour reprendre les objectifs débute ensuite et, mise à part les péripéties dues à un sherman qui tente de me contourner, se poursuit jusqu'à la reddition des troupes alliées.