2^ème tour du tournoi des chefs et je Tombe sur Mr Corwin.

 

VAE VICTIS !

 

La première partie a permis d’établir que les choix stratégiques ne sont pas nombreux, il va falloir faire preuve de souplesse.

 

Mon objectif :

Prendre les drapeaux de mon coté et contrôler l’ensemble du lac central, même s’il ne s’agit pas d’une zone drapeaux son contrôle est déterminant pour espérer emporter la partie.

Tour 1/10 :

Surprise j’ai vu débouler des camions sur un drapeau que je tenais déjà depuis un tour !

A bout portant mes hommes n’ont pas fait de cadeaux à l’ami Corwin !

Pour le reste chacun prend les drapeaux de son coté, j’ai un doute sur le drapeau central du camp adverse, Corwin y es tu ??

J’aurai ce doute toute la partie jusqu’à que mon adversaire y face une contre attaque.

 

Tour 10/20 :

L’infanterie prend position, je n’aperçois que très peu de troupes à pied de l’adversaire, ce qui n’est pas le cas de ses chars que Corwin manie à merveille, il gagne tous ses duels !

 

Tour 20/35 :

Le tournant c’est une attaque de ma part mal coordonnée et très bien exploitée par le prince d’Ambre!

Ce qui était prévu : une tombée d’artillerie de gros calibre sur le drapeau en bord de lac occupée par Corwin, un surgissement de 3 chars et un rush de 3 pelotons sur la zone !

Ce qui s’est réellement passé :

Les trois chars ont été anéantis dans le même tour par deux chars!

L’observateur d’artillerie a perdu sa ligne de tir suite à un blast d’un de ces chars !

L’infanterie a chargée à découvert …

Ensuite tout est dit, Corwin contrôle avec maestria la fin de partie.

 

Superbe partie où j’ai fait  l’erreur stratégique de vouloir garder l’initiative en imposant mon tempo alors même que c’était Corwin qui devait recoller au score.

Même si mes troupes d’infanterie ont bien manœuvrées elles se sont retrouvées systématiquement isolées du fait d’un emploi des blindés lamentable !

 

 

Cette deuxième partie à CMBB contre un adversaire humain  fut  extrêmement plaisante à jouer :

Corwin est un adversaire de valeur et un fin tacticien. (J’ai analysé un peu son style de jeu et je pense que je pomperai deux / trois trucs qu’il a employé et dont j’ai fait les frais !).

Il est également un adversaire agréable avec lequel on peut au détour de courriels de combats  échanger sur nos passions respectives.

 

Merci à toi l’ami pour cette partie, je te souhaite bonne chance pour la suite du tournoi, NON ! En fait je te demande de le gagner !!

 

AD AUGUSTA PER ANGUSTA !!

2ème tour du tournoi « combat des chefs » Je me trouve confronté à Buntz que je ne connais pas du tout mais cette partie m’a permis de le découvrir et de l’apprécier. Relativement nouveau sur le site, je ne connais pas son niveau, mais je peux vous dire que c’est un bon ! Le plan : je change ma technique d’approche par rapport au premier tour : cette fois j’attaque sur les 2 gros drapeaux d’entrée avec une force à base de camions chargés d’une section + appui. J’espère devancé Buntz sur le sien pour le troubler et protégé le site à l’aide de mes blindés (les PZ IV à G, les Stug à D). Tour 3 : ma magnifique attaque est décimée à D, Buntz a été le plus rapide, je perds bcp de « pts » dans l’affaire, et j’arrive dans une situation que je n’aime pas du tout : courir après le score. Le problème, c’est que pour enfin conquérir ce drapeau, je dois au préalable détruire une bonne partie des blindés adverses. Les miens sont groupés par paire, j’attends patiemment que Buntz dévoile les siens. En attendant, je prends « mes » drapeaux. Suite à qq tirs « heureux » contre des blindés isolés, je parviens à en détruire 2 sans perte en retour. Bon là nous devons être à peu près à égalité. Et c’est à ce moment que la partie se joue : Buntz est victime du système de jeu et d’une poisse aux tirs rarement vue, avec juste une petite erreur dans son attaque blindée : à la fin d’une vidéo, la « croix » représentant le blindé qui, je le croyais, faisait face à 2 des miens disparaît subitement, remplacée qq instants par un blindé se précipitant sur mon flanc droit, suivi de près par un second. Et la vidéo s’arrête là. J’ai donc le temps de réajuster mes tourelles, et le duel tourne encore une fois en ma faveur malgré les 3 blindés d’en face (jamais eu autant de réussite moi !). La seule erreur de Buntz a été de m’attaquer par un seul côté… Maintenant, je mène au score, je prépare mon attaque sur son gros drapeau, mais l’OA roumain est lent, très lent… Pendant ce temps, une opportunité de prendre 2 blindés de dos se présente, mais Buntz déjoue la manœuvre et me détruit, enfin, un blindé. Par contre, ma « paire gagnante » a maintenant les mains libres, je déborde sur le flanc et détruit encore 2 autres blindés. Dans la catégorie « je ne l’ai pas fait exprès », Buntz a encore la malchance de lancer une attaque d’infanterie juste devant ces 2 blindés (alors qu’initialement je les avais envoyé totalement ailleurs), ce qui perturbe son attaque qui, sinon, aurait réussi à me reprendre un drapeau. Buntz n’a plus qu’un blindé, qui vendra chèrement sa peau en détruisant un des miens, mais encore une fois, mon premier tir touche et détruit… Faut que je joue au loto moi ! ! ! Je lance enfin mon attaque d’infanterie (2,5 sections) après un magnifique d’artillerie lourde totalement en dehors de sa cible (pourtant en LDV directe…) et des tirs de suppression, et ça ne manque pas : très belle couverture par plusieurs angles de Buntz, l’infanterie panique en terrain découvert malgré les fumigènes. Je dois lancé mes blindés, 2 Stug arrivent au corps à corps (un manque d’être détruit par un cocktail molotov). Bilan : le drapeau que je devais prendre au troisième tour n’est pris qu’au 33ème ! ! Ailleurs, Buntz attaque encore avec son infanterie, un blindé est appelé à la rescousse pour la repousser sur le fil. Au final, Buntz aura considérablement mieux manié son infanterie que moi, aura pris bcp plus d’initiatives et sans ma chance insolente dans les duels de blindés (le seul secteur où il doive encore un peu progresser) et bien je passais à la trappe ! Merci donc à toi pour cette partie, tu méritais mieux, et ça se joue finalement, malgré le score, à très peu de chose.