Partie en 5000 points + (gros) bonus + un thème scénario. Le tout en amical !
Le Buntz est toujours un adversaire aussi agréable à jouer, une régularité exemplaire et des échanges au poil !
Alors la carte : grande étendue vallonnée avec au centre une ville importante. Les objectifs sont disséminés un peu partout, avec une plus forte concentration au centre.
Mon OB : T34/85, Su-100, bataillon blindé ’44, une compagnie de para.
Le scénar reposait sur le sauvetage d’une équipe de savant dans chaque camps, chacun ayant à sa disposition une compagnie " élite " pour sauver " son "savant/exterminer celui d’en face. Hormis cela, les troupes devaient se camoufler/replier.
Les premiers tours voient donc une ruée de camions sur la zone universitaire, je récupère mon précieux colis sans mal et mon équipe d’extermination s’approche du vile chercheur nazi… Lorsqu’un peloton de Stug, déstabilisé par le passage répété d’un IL-2, se pointe dans la zone interdite ! ! Mon brave commando est quasi exterminé, le temps de se remettre et les troupes fascistes sont en position pour me recevoir… 1 point partout, balle au centre !
Par ailleurs, je prends place en ville sans trop de pb, la mobilité des blindés russes + les troupes montées prenant de rapidité l’allemand. J’aperçois qq unités d’infanterie et qq blindés, mais pas de combat décisif. A gauche, je progresse à l’avis de grandes forêt, coupant à travers la campagne pour me rabattre sur la grande colline comptant pas mal de points de victoire.
Une expédition de blindés légers tentant de me déborder par le flanc est vite éconduit (20 mm contre 85, c’est pas glorieux mais c’est toujours drôle (pour celui qui à la plus grosse…)) J .
Dans la ville, je contrôle quasi tous les drapeaux mais chacun reste chez soit : il faut dire que dès qu’une oreille dépasse d’un mur ou qu’un casque se montre à une fenêtre, le téméraire est vite éconduit (généralement avec la perte du dit appendice). Bref, ça sent le match nul à plein nez ! Je tente quand même le coup sur la colline à G, mais le Buntz a bien préparé sa défense et ma progression ralentit puis totalement stoppée.
Au final, nous avons plutôt économisé nos troupes, ayant chacun choisi des objectifs différents, il n’y aura pas eu de confrontation majeure mais tout de même qq beaux moments de gloire ! !
Merci à Buntz pour cette très bonne partie, depuis nous ne nous séparons plus (cf. BOBBAK et " tu tires ou tu pointes !).
Et méfiez vous de lui, sous ses aspects de rugbyman rigolard et débonnaire, c’est un tueur, un vrai !