Boudi a décidé d'arrêter les frais avant le coup de gong final.

Et c'est vrai qu'en y regardant de plus près, son détachement a plus souffert que je ne le pensais.
Privé très tôt de son appui blindé qu'il a eu la bonne grâce d'offrir à mon 17pdr (vous ai-je déjà parlé de mon amour immodéré du 17pdr???) , sa biffe a neanmoins tenté de me mettre la pression partout ; allant même me cueillir au passage un 6pdr qui ne demandait rien à personne.

Mais se faisant, il s'est exposé à la fois à mes boites de conserve, mes OA et mes britishs, qui sont venus à bout de sa ténacité.

Merci à Boudi pour cette partie dont le début l'a fortement handicapé !

En perdant tous mes blindés (2 PZIV, 2 chasseurs de chars avec du 75mm, 1 puma, 1 sdkfz canon court de 75) ou presque dans les 4 premiers tours, que pouvais-je espérer ? tenir le plus longtemps possible, ce que j'ai essayé de faire.

Dans un combat de rencontre, sur une carte aux larges lignes de vue, je me suis donc retrouvé avec 1 bataillon de bif contre 2 Cie et + de para anglais et surtout 3 Churchill impénétrables, qui ne laissaient aucune chance à mon pauvre PZ IV rescapé, Impossible d'avoir un Church en frontal avec du 75 à plus de 300M. Pour finir, Jolibois est arrivé sur les drapeaux principaux avant moi, s'instalant en défense, se servant avec brio de l'avantage donné par les Bren à moins de 100m.

Bref, mes hommes se sont fait marteler pendant 15 tours avec les obus des Churchs, qui délogeaient chaque nid de MG sitôt découvert.

Un joli coup tout de même, la prise d'assaut avec une section de Pzgr d'un AC anglais.

A part ça...

Bravo à Jolibois !