« Aix la Chapelle »
Petit assaut Allié en combat urbain.
Lors du déploiement, je préfère jouer la carte de la surprise en faisant un assaut de l’infanterie sur un très large front plutôt qu’une concentration de force sur un point précis.
La seconde ligne est composée de deux chars qui apporterons leur soutien là où le besoin s’en fera sentir.
Tactique risquée mais payante car les rues étaient bien entendues infestées de panzershrecks, très judicieusement placés d’ailleurs, et débusqués par mon infanterie.
Comme un rouleau compresseur, mon infanterie avance vers les drapeaux, deux petits avec un gros entre les deux. Les tirs de soutien des chars se sont avérés indispensables là où les tirs adverses étaient trop nourris pour progresser.
Progression générale des troupes satisfaisante sauf sur mon flanc droit où mon adversaire m’avait tendu une embuscade avec de nombreuses escouades.
Etant près des objectifs et mes hommes sur ce flanc s’étant déjà fait mettre hors combat, je préfère une poursuite vers les drapeaux que sécuriser cette partie du champ de bataille ; sachant que de toute façons, les Allemands présents sur ce flanc devraient se transformer en attaquant pour venir contester un ou plusieurs objectif(s), j’opte donc pour les attendre de pied ferme.
Mon adversaire voyant que la partie est pliée essaie de faire le plus de dégâts possible et s’en prend en particulier à mes chars (un Sherman et un Priest) avec ses hommes en forces sur mon flanc droit qui prennent à revers mon arrière garde.
C’est à ce moment là qu’un de mes deux char, le Priest se fait immobiliser par un tir de Panzershreck.
Voyant que les objectifs sont tenus, j’envoi toutes les troupes disponibles dans les environs pour former un dispositif de sécurité autour du Priest, comme dans tout film Américain qui se respecte, faisant l’éloge de l’U.S. Army !!! Périmètre formé et maintenu.
La partie termine donc par ce coup d’éclat Hollywoodien suivi de la reddition de l’ennemi.
A signaler qu’il nous a semblé que le scénario n’était pas très équilibré, en défaveur de l’Axe.
Merci au Fossoyeur qui est un adversaire bien sympas.
