Balthaur a écrit :J'ai été négligent : une seule division d'infanterie tenait le front de la Meuse à ce niveau, et elle était attaquée par 2 corps d'armée français. Le ratio du combat était nettement à mon avantage, aussi, j'ai retardé l'envoi de renforts vers cette division qui a fini par lâcher , faute de munitions et qui, peu à peu, s'est désorganisée.
Mais cette crise est en passe d'être résolue...
L'idéal serait sans doute de pouvoir tenir un topic public où tout pourrait être dit et montré un peu comme dans nos médias (avec la désinformation que cela implique) et un forum privé par pays ou par alliance pour la planification...Mais si comme moi vous avez une vie en dehors d'AF, je sais que ce n'est pas tenable.
Ce topic étant unique, il y a de tout. Des comptes-rendus relativement fidèles, des pseudo-déclarations officielles et aussi beaucoup d'intox. Et c'est tout-à-fait justifié: si la France capitule parce que ses dirigeants n'ont plus la volonté de se battre, c'est autant de temps et de ressources gagnés pour le dirigeant allemand. Ainsi, les comptes-rendus donnent vraiment l'impression (j'insiste sur le terme) d'une totale suprématie allemande qui à mon avis est loin d'être aussi évidente...Ainsi lorsque les Allemands annoncent qu'à 1 Division contre 2 corps d'armée, le rapport de force leur est favorable, c'est de l'humour ou de la propagande. Et pour les 2 divisions blindées au sud, elles se sont quand même fait botter le fondement, n'en déplaise à Heinz et Erwin. Donc je dis, gagner du temps et encore du temps sans dégarnir les défenses proches et éloignées de la capitale: user l'adversaire qu'on ne peut pas battre tout de suite et à toutes ses fanfaronnades, lui envoyer ce message qui est aussi valable pour la France et que je vous livre grâce à ma machine à voyager dans le temps:
" Nous irons jusqu'au bout, nous nous battrons en France, nous nous battrons sur les mers et sur les océans, nous nous battrons avec plus de confiance et plus de force dans les airs, [...] peu importe ce qu'il en coûtera, nous nous battrons sur les plages, nous nous battrons sur les collines; jamais nous ne nous rendrons..."
- Winston Churchill, Chambre des Communes britannique, 4 juin 1940 (traduction).
"Vas-y Le Dens" crie la foule des centaines de milliers de citoyens qui se sont rassemblés autour de l'Arc de Triomphe !