Scénario: cache-cache
Belle partie de cache-cache avec notre ami James 
D'entrée je compris que ce ne serait pas une mince affaire....Le Finlandais combattait dans son élément,une épaisse forêt,et qui plus est,il défendait son territoire national....
Cependant mes moyens étaient considérables,tout le bestiaire soviétique de fin de guerre était à ma disposition: ISU,T34/85,Su76 ainsi qu'un bon troupeau de chair à canon.Les débuts furent foudroyants,notamment sur mon aile droite où j'avais disposé l'élite de mon armée dans le but d'envelopper le dispositif défensif adverse.
Au centre également,où se trouvait le deuxième axe de mon attaque,les choses de déroulaient pour le mieux. mes blindés,bien épaulés par l'infanterie,réduisaient les nids de résistance énnemis les uns aprés les autres à un rythme acceptable.
Hélas cela ne devait pas durer,aprés un moment de flottement où James fit quelques erreurs avec ses blindés,Le Finlandais reprit du poil de la bête.Au centre,la perte de plusieurs chars dans de fourbes embuscades,ainsi qu'un violent barrage d'artillerie (mes hommes en tremblent encore
) mirent un brusque coup d'arrêt à ma progression.Pire,sur mon aile droite,l'apparition de deux T34/85 de prise allaient compromettre mes espoirs de perçée rapide sur ce côté....
Rapidement la guerre éclair du début de partie fît place à une guerre d'usure qui ne m'était pas favorable.James défendit chaque mètre avec opiniâtreté,s'accrochant à ses tranchées avec l'energie du desespoir.Dans la mélée,un des T34 Finlandais alla même jusqu'à rouler sur une mine anti-char de son propre camp (ce qui,je dois bien l'avouer,me fît bien sourire devant mon écran
).En revanche l'ultime StuG de James fût mon cauchemard,il sût bloquer mon attaque au centre pendant plusieurs tours,habilement embusqué qu'il était,au détour d'un chemin fôrestier.
En résumé un scénario interressant (un scénario de R2 quoi
),ou j'ai sans doute pêcher par confiance,croyant,à tord,que je saurais conserver le rythme de progression du début de partie.Bravo à James qui sût ne rien lacher,et dont l'acharnement en défense n'a d'égal que sa sympathie