QB en 2000 pts, avec tous les paramètres de période, météo, et carte aléatoires, et le résultat des courses est Afrique du Nord, en août 42.
- 1 Bataillon de reconnaissance mécanisée, vét ;
- 1 Peloton de 4 Pz IIIJ, vét ;
- 1 SdKfz 7, 2 camions, et 1 Kübelwagen.
La carte ne présente quasiment aucun relief, et le couvert est assez clairsemé. Quatre objectifs nous sont assignés :
- un grand et un petit au centre, dans une zone rocheuse dont on peut approcher relativement protégé par quelques palmeraies.
- Un autre petit drapeau, à ma droite, lui aussi au milieu des rochers, mais avec de vastes étendues bien dégagées autour, histoire de faire de parfaites cibles lorsqu'on approche ;
- Un grand drapeau à ma gauche, dans une toute petite palmeraie, mais là aussi 100 à 150 m d'étendues dégagées autour. rendent l'approche assez dangereuse
Je décide d'affecter 2 compagnies à la capture des objectifs centraux, 1 compagnie tentera de s'approcher prudemment, si possible, du drapeau de gauche, et la section de sapeurs du bataillon fera de même sur le drapeau de droite. Dans ces 2 derniers cas, le but est avant tout d'empêcher l'allié d'approcher, plus que la prise du dapeau elle même.
Etant donné l'étendue des LDV que permet cette carte mes véhicules, initialement prévus pour le transport éventuel des canons (3 AC 50 mm, et 2 inf 75 mm fournis dans mon bataillon), sont finalement affectés au transport rapide au centre d'une section et 2 lance-flammes.
Les canons sont camouflés dans les Oasis du fond de carte.
Le début de partie est catastrophique : un avion détruit en un seul passage presque tous mes véhicules de transport, anihilant en même temps leurs passagers ; et en 2 ou 3 tours, je perds tous mes chars sous les coups de canons AC anglais !
Mes seules consolations sont que ses blindés souffrent aussi sous les coups de mes PAKs, et que la progression de mon infanteie est, elle, satisfaisante.
Commence alors un long travail de sape, à l'aide des canons de 75 et des mortiers de 50 mm, pour ramollir ses unités les plus avancées et permettre l'approche de mes propres troupes : pas de mouvement décisif dans cette partie, mais un grignotage méthodique et continu, qui use l'adversaire et me permet à la fin, de tenir tous les objectifs