l'horreur absolu !
cette partie avait pourtant bien commencée.... 
La carte au relief trés tourmenté est organisée autour d'un piton rocheux sur lequel trône une grande maison. A la gauche de cette coline c'est du désert désetrique et valloné, avec un oasis qui regroupe quelques petites maisons et deux drapeaux. de l'autre coté, un colline du coté de mon adversaire US décend en pente douce vers un gros bourg et celui ci s'étend presque jus'qu'à mes lignes. si les maisons sont nombreuses, les espaces entre elle sont importants. Enfin , de mon coté une legere remontée de terrian me permet de voir ce village d'en haut. on peut consisdérer ce village comme au fond d'une cuvette, débordant largement sur les bords remontant.
mon Ob se révèle bien adaptée à cette carte :
un peloton de PZ IV canon long
Une compagnie du génie
2 canons de 150mm
quelques MG
je décide de foncer à gauche pour prendre posséssion de l'oasis. ensuite, je gravirai la coline centrale en progressant depuis l'oasis et en soutenant ctte avance avec mes Pz, je pense pouvoir maitriser la hauteur.
de l'autre coté deux sections de sapeurs vont avancer prudemment de maison en maison et prendre le contrôle de quelques un des 4 drapeaux.
J'estime possible de finir à la tete de 5 des 8 drapeaux, en ayant éliminé les blindés US et cramé/explosé les troupes US à pied : j'ai confiance.
Dès l'ouverture, tout ce passe bien. mon rush sur ma gauche me permet non seulement de devancer l'Us sur les couverts, mais même de m'y dissimuler avant son arrivée. Mes panzers détruisent au prix d'1 perte un Priest, un M10 et un transport. lesPz appuient ensuite les sapeurs qui écrasent l'offensive des piétons US. De l'autre coté, mes canons de 150 sont détruits, mais ils ont abimé quelques groupes adverses, un blindé et permis une infiltration pas si mauvaise de mes troupes. je ne suis pas capable cependant d'assurer mes positions comme de l'autre coté.
nous en sommes au tour 10, Sulfat pense à abandonner et je fais mon malin ...
mais j'ai négligé la coline centrale.
c'est la seconde partie de mon plan : je dois la prendre afin d'assurer ma position à gauche et renforcer par la vue des posiitons US celle de mes troupes de droite.
je lance une section et 2 pz IV ... un bazooka non repéré va détruire les deux chars
, et les fantassins US vont dérouter mes troupes.
Il me reste 2 Pz IV. J'estime la coline centrale perdue, mais je peux tenir ma gauche et temporiser à droite : un nul est possible , peut être meme une légere victoire. a gauche mon adversaire semble renoncer, et à ma droite, je le harcele de loin, sans subir de perte ...
Hélas, lendement, sulfat à amener deux canons (105) sur sa coline : il domine toute ma droite. il y déploie aussi son dernier priest.
je rameute mes PZ IV : tir de zone sur les positions des canons : normalement leur neutralisation est assurée mais ... sulfat à une chance incroyable (ou des equipages Crack ?) et à bien mesuré son placement: un obus détruit le canon d'un PZ 4 qui n'a plus de mitrailleuses (munitions !). Il se rue au contact et détruit un canon en faisant fuir les servants. hélas il est détruit par le second canon
.
le dernier pzIV se met en position pour causer au priest : las ! La jeunesse de mes bleus les pousse à tirer trop vite. le priest ne commet pas cette erreur et mon PZ IV est détruit ...
des lors, la contre attaque devient irréssitible. Si, à droite, mes troupes se planquent pendant que le priest détruit les maisons l'une apres l'autre, à gauche les survivant Us se regroupent et remontent courageusement à l'assaut. a droite, la portée de tir des sapeurs est trop courte pour empecher l'avance US et à gauche mes LFL n'ont plus de munitions ...
La partie n'en finit pas et chaque tour menace mes positions plus que le précédent.
La défaite est logique et légère, car je suis incapable de bouger, vers l'avant ou vers l'arierre.
Seul la qualité de mes premiers tours me permet de tirer mon épingle de ce guépier !
A bientôt Sulfat, pour une revanche. d'ici là, bonnes vacances ...