Fin 1945 nous décidons avec l’ami Corwin de nous rencontrer dans une ville de la banlieue de Berlin.

5000 pts et scénario combinés.

A lui les Russes à moi les allemands. Combat de rencontre pimenté par le choix d’une bête de fin de guerre chacun et agrémenté d’un scénario de récupération de d’officiers par des troupes d’élites.

Engagement des deux joueurs de se servir des commandos d’élite uniquement pour cette mission sans immixtion dans le combat de rencontre(plus facile à dire qu’à faire car lorsqu’un sturmtruppe élite aperçoit du rouge il TIRE !!)

Sur le scénario :

 no problémo pour les deux camps, les officiers sont rapidement récupérés, pour ma part j’ai eu juste le temps de sortir l’officier de l’usine et de mettre en place un cordon de sécurité car le  commando russe arrivait. Il a ainsi pu être repoussé(plus exactement détruit).

Sur le combat de rencontre en 5000 pts :

Partie sans faute de Corwin, pour ma part cela a été une longue galère pour trois raisons :

1/ Un mauvais placement initial face à de nombreuses lignes de chemins de fer et une grosse(GROSS ?) colline qui m’auront considérablement ralenti les mouvements.

2/ l’arrivée au tour 1 de l’aviation ennemi qui a eu un effet désastreux : destruction de certaines forces mais surtout désorganisation totale des mes troupes : camions en sucette dans les bois, infanterie jouant aux autruches en terrain découvert, chars hagards…Il m’a bien fallu 5/6 tours pour reprendre tout cela en ordre.

3/ un positionnement aux petits oignons de l’ami Corwin qui a bloqué toutes mes velléités de tentatives de progression. Face à un ennemi trop bien placé j’ai préféré assurer mes drapeaux.

Je pense d’ailleurs avoir été quelque peut timoré sur cette partie et ne pas avoir su rebondir assez vite après le passage de l’aviation.

Au final donc :

Un scénario palpitant qui s’est terminé après une quinzaine de tours

Une guerre de position en centre ville

Une guerre de mouvement, attaque et contre attaque sur le flanc dans les bois où cela a pété sec !!

Voilà un peu trivialement raconté cette partie.

Corwin est toujours un adversaire aussi sympathique et chaleureux. Il aurait mérité amplement de gagner cette partie car sa stratégie était fine et son positionnement adéquate.

Les lignes de tir et le combat urbain ne le lui  ont pas permis en 47 tours.

Merci encore toi l’ami et à bientôt.

Partie en 5000 points + (gros) bonus + un thème scénario. Le tout en amical !

Le Buntz est toujours un adversaire aussi agréable à jouer, une régularité exemplaire et des échanges au poil !

Alors la carte : grande étendue vallonnée avec au centre une ville importante. Les objectifs sont disséminés un peu partout, avec une plus forte concentration au centre.

Mon OB : T34/85, Su-100, bataillon blindé ’44, une compagnie de para.

Le scénar reposait sur le sauvetage d’une équipe de savant dans chaque camps, chacun ayant à sa disposition une compagnie " élite " pour sauver " son "savant/exterminer celui d’en face. Hormis cela, les troupes devaient se camoufler/replier.

Les premiers tours voient donc une ruée de camions sur la zone universitaire, je récupère mon précieux colis sans mal et mon équipe d’extermination s’approche du vile chercheur nazi… Lorsqu’un peloton de Stug, déstabilisé par le passage répété d’un IL-2, se pointe dans la zone interdite ! ! Mon brave commando est quasi exterminé, le temps de se remettre et les troupes fascistes sont en position pour me recevoir… 1 point partout, balle au centre !

Par ailleurs, je prends place en ville sans trop de pb, la mobilité des blindés russes + les troupes montées prenant de rapidité l’allemand. J’aperçois qq unités d’infanterie et qq blindés, mais pas de combat décisif. A gauche, je progresse à l’avis de grandes forêt, coupant à travers la campagne pour me rabattre sur la grande colline comptant pas mal de points de victoire.

Une expédition de blindés légers tentant de me déborder par le flanc est vite éconduit (20 mm contre 85, c’est pas glorieux mais c’est toujours drôle (pour celui qui à la plus grosse…)) J .

Dans la ville, je contrôle quasi tous les drapeaux mais chacun reste chez soit : il faut dire que dès qu’une oreille dépasse d’un mur ou qu’un casque se montre à une fenêtre, le téméraire est vite éconduit (généralement avec la perte du dit appendice). Bref, ça sent le match nul à plein nez ! Je tente quand même le coup sur la colline à G, mais le Buntz a bien préparé sa défense et ma progression ralentit puis totalement stoppée.

Au final, nous avons plutôt économisé nos troupes, ayant chacun choisi des objectifs différents, il n’y aura pas eu de confrontation majeure mais tout de même qq beaux moments de gloire ! !

Merci à Buntz pour cette très bonne partie, depuis nous ne nous séparons plus (cf. BOBBAK et " tu tires ou tu pointes !).

Et méfiez vous de lui, sous ses aspects de rugbyman rigolard et débonnaire, c’est un tueur, un vrai !