Un affrontement géant (5000pts), sous une pluie battante, où l'infanterie par le nombre, sans oublier la chance, a fait la différence.

La maison des morts. C'est la deuxième fois que je rencontre Roll, mais cette fois il a du venir avec son copain Rock car j'ai eu du fil à retordre et du sévère! La carte ressemblait à n'importe quelle campagne Berrichonne quelconque: un paysage étendu, valonné avec une série de drapeaux alignés comme des sardines dans une boite. J'ai pris les tueurs de Grizzly avec un tas de matériels plus ou moins utile dont de quoi faire un barbecue en cas de beau temps. Cette fois je me précipite sur les objectifs en bombant le torse comme un dresseur de tigre, mes allumes barbecues me suivent de très prêt. Les canons et chars restent un peu en arrière du cortège. Au début cette tactique fonctionnent à merveille: les premiers gdc qui arrivent se font incruster leur uniforme sur le corp grâce à mes sèches cheveux surpuissants, ça sent le cochon grillé, on rigole et on boit un coup en pansant à ces pauvres gars qui font "Grouinq" "Grouinq" en retournant chez eux. Roll ne tarde pas à ramener le lourd pour mettre fin à la fête au village. Adieu les joies de la pyrotechnie et place au sérieux, je suis très vite remis à ma place par ses Panthers pas très sympathique! Ce geux de Roll arrive à me faire douter du bien fondé de mon action incendiaire, je m'accroche au terrain en serrant les dents. L'arrivé de mes chars me font l'effet de la cocaine sur le malade en détruisant la quasi totalité de ses blindés vengeur. La suite vire au cauchemar pour nous deux: - La maison ele est à moi nananère! - Non j'te dis qu'elle est à moi Brrrreeuuuuhhhh. - Dégage sinon j'appelle mon père. - T'es pas cap Nanana. Pandant que les enfants se chamailles à l'étage, les troupes trinquent au rez de chaussée. Il y a une maison avec un drapeau ou les cadavres vont s'accumuler jusqu'au plafond, le drapeau finira malgré tout en gris avec un gros point d'intérrogation au milieu. Ailleurs ça n'est guère mieux surtout pour moi: partout ou j'avais mon cul assis dans le bac à sable avec ma pelle et mon rateau, Roll viens me piquer mes jouets et m'arracher la couche. La fin de l'histoire, vous n'avez qu'à la lire sur le frontispice de ce modeste compte rendu: 59/36