que dire si ce n''est belle défense de zugrub qui gère très bien ce genre de partie auquel j''ai voulu m''essayer mais ou je me suis casser les dents. J''ai bien essayer de la faire a la russe mais rien n''est passé et je préfère demander le clf pour qu''il me reste des hommes à ramener au pays

Partie que j’affectionne : lorsque je suis en défense. Mon OB : 1 bataillon d’infanterie, avec pas mal de canon AC et courts, deux casemates mitrailleuses, 1 compagnie de PM pour cueillir l’ennemi, et un OA de 150 (j’en suis devenu accros !), en réguliers. 1 (seul) char : un Panther crack, et des barbelées, mines et autres horreurs. La map est idéale : 4 grands flags au centre à l’orée d’un village –et à contre pente ! C’est mon centre, et je parviens à le tenir en partie, deux d’entre eux resteront en ma possession, les autres seront contestés. Ma première ligne (qui se fera édenter), les mines, les barbelées, puis ma seconde ligne avec les tirs d’appuis des canons et l’OA de 150 auront raison de l’ennemi, qui aura pourtant mis le paquet ! Il a joué ses ricains comme des russes : au charbon. D’ailleurs, j’ai rebaptiser le bourg « mouroir city » en sa mémoire. Ses Priest (par paquets !) m’ont bien pilonnés. Sur ma droite : 3 grands et 1 petit flags, plus en retrait, dans des zones semis boisées : mon adversaire ignora pratiquement ces objectifs, mais contestera le petit de manière très « filouteuse » ! ;) Et sur ma gauche : 1 petit flag au loin. Je n’y déploie que quelques mitrailleuses, afin de le défendre, mais aussi de pouvoir faire des tirs croisés vers le centre… elle n’en auront guère l’occasion : mon adversaire y déboule en force (au moins 1 compagnie appuyée par des chars) ! Bref, il gagnera ce flag. Merci à Norm’s pour cette partie qui m’a beaucoup plu (bien plus qu’à lui, j’en ai peur) ! Très tôt il a cassé le canon de mon seul char, et les siens se sont comportés de manière très « cavalière » en tutoyant mes lignes ! Il s’est montré implacable, et a envoyé ses hommes au mouroir sans état d’âme, et je dois reconnaître que j’ai été soulagé d’accepter son cessez-le-feu.