http://www.scs-dangerouswaters.com/
J’ai choisi un scénario trouvé sur SUBGURU.COM, « South Atlantic CV » de TLAM Strike,
jouable avec un sous-marin russe de type Kilo.
http://www.subguru.com/dwmissions.htm
Tensions en AARmérique du sud - A.A.R Dangerous Waters -
Modérateur : administrateurs généraux
Tensions en AARmérique du sud - A.A.R Dangerous Waters -
Je vous propose une A.A.R. sur la simulation navale DANGEROUS WATERS.
http://www.scs-dangerouswaters.com/
J’ai choisi un scénario trouvé sur SUBGURU.COM, « South Atlantic CV » de TLAM Strike,
jouable avec un sous-marin russe de type Kilo.
http://www.subguru.com/dwmissions.htm
http://www.scs-dangerouswaters.com/
J’ai choisi un scénario trouvé sur SUBGURU.COM, « South Atlantic CV » de TLAM Strike,
jouable avec un sous-marin russe de type Kilo.
http://www.subguru.com/dwmissions.htm
HISTORIQUE
Le désaccord au sujet d’une région, sur la frontière entre l’Argentine et le Brésil, où l’on a récemment découvert d’importante quantité de pétrole, a lentement dégénéré en conflit ouvert.
Théatre des opérations
Suite à la promesse d’accords commerciaux, la Russie a expédié des forces militaires en Argentine. Cette force comprenant une division aéroportée, trois escadrons d’intercepteur Su-27 et un sous-marin, le Vologda.
Troupes aéroportées russes
Chasseurs multirôles d'attaque au sol SU-27
BRIEFING
Un avion de reconnaissance maritime a localisé le porte-avion brésilien Sao Paulo croisant actuellement le long de la côte argentine, en direction du sud-ouest.
Le CV Sao Paulo
Le Vologda et le sous-marin argentin SS41 Santa Cruz doivent prendre position sur sa route et le couler.
SS Santa Cruz argentin
En plus d’attaquer le porte-avion, le B-402 doit, en second objectif, assurer la sécurité du Santa Cruz. Sa survie est capitale puisque l’arrivée dans la zone de combat de nouveaux sous-marins russes ne se ferait pas avant un mois.
Aussi, les avions de lutte anti-sous-marine S-2 Tracer argentins et notre avion de surveillance maritime IL-38, rapportent la présence de plusieurs sous-marins ennemis en avant du porte-avion. Prenez garde à eux, il sont sans doute à votre recherche.
ILYUSHIN IL-38 MAY
à suivre...
Le désaccord au sujet d’une région, sur la frontière entre l’Argentine et le Brésil, où l’on a récemment découvert d’importante quantité de pétrole, a lentement dégénéré en conflit ouvert.
Théatre des opérations
Suite à la promesse d’accords commerciaux, la Russie a expédié des forces militaires en Argentine. Cette force comprenant une division aéroportée, trois escadrons d’intercepteur Su-27 et un sous-marin, le Vologda.
Troupes aéroportées russes
Chasseurs multirôles d'attaque au sol SU-27
BRIEFING
Un avion de reconnaissance maritime a localisé le porte-avion brésilien Sao Paulo croisant actuellement le long de la côte argentine, en direction du sud-ouest.
Le CV Sao Paulo
Le Vologda et le sous-marin argentin SS41 Santa Cruz doivent prendre position sur sa route et le couler.
SS Santa Cruz argentin
En plus d’attaquer le porte-avion, le B-402 doit, en second objectif, assurer la sécurité du Santa Cruz. Sa survie est capitale puisque l’arrivée dans la zone de combat de nouveaux sous-marins russes ne se ferait pas avant un mois.
Aussi, les avions de lutte anti-sous-marine S-2 Tracer argentins et notre avion de surveillance maritime IL-38, rapportent la présence de plusieurs sous-marins ennemis en avant du porte-avion. Prenez garde à eux, il sont sans doute à votre recherche.
ILYUSHIN IL-38 MAY
à suivre...
Dernière édition par leliou le dim. 22 janv. 2006 11:56, édité 1 fois.
Me voilà aux commandes d’un sous-marin d’attaque de classe KILO Projet 636, de fabrication russe.
C’ est un petit sous-marin diesel compacte (Dimensions: 73.80 × 9.90 × 6.60) propulsé par une seule hélice. Le design arrondis et la double coque permettent à ce sous-marins d'être endurant et silencieux. Tellement silencieux en plongée qu’il est surnommé « le Trou Noir » par l’OTAN.
Les terrains de prédilection du Kilo sont principalement les eaux peu profondes ou les côtes.
Le projet 636 est équipé de six tubes de torpille de 533 millimètres situés dans le nez du sous-marin et transporte dix-huit torpilles, 6 dans les tubes et 12 stockés sur leur support. Le sous-marin peut transporter et déployer 24 mines ; deux dans chacun des six tubes et douze sur les supports. Deux tubes lance torpille sont conçus pour les torpilles télécommandées d'une précision très élevée, les TEST-71 M, des torpilles filoguidées ASW (lutte anti-sous-marine). Tous les tubes lance torpilles et leurs systèmes sont utilisable de façon efficace aussi bien a profondeur périscopique, qu'opérationnelle (240m). Le système torpille, commandé par ordinateur est équipé d'un dispositif de chargement rapide ; Il ne faut en effet que trois minutes pour préparer les tubes lance torpilles a tiré.
Il dispose de capacités anti-aérienne avec l'adjonction de missile SAM Gremlin tiré (par des membres de l'équipage entraîné à son utilisation) a partir du kiosque. L'addition du lance-missiles (portatif) sur les projets 636 donne au bateau une défense "raisonnable" contre les hélicoptères de lutte anti-sous-marine.
Ses deux batteries de stockage et un système de régénération d’air lui permettent de rester 260 heures en opération avant de devoir recharger ses batteries et ventiler au snorckel.
A bord, 13 officiers, 12 officiers subalternes, 12 sous-officiers et 15 sous-mariniers, soit 52 hommes.
A suivre...
C’ est un petit sous-marin diesel compacte (Dimensions: 73.80 × 9.90 × 6.60) propulsé par une seule hélice. Le design arrondis et la double coque permettent à ce sous-marins d'être endurant et silencieux. Tellement silencieux en plongée qu’il est surnommé « le Trou Noir » par l’OTAN.
Les terrains de prédilection du Kilo sont principalement les eaux peu profondes ou les côtes.
Le projet 636 est équipé de six tubes de torpille de 533 millimètres situés dans le nez du sous-marin et transporte dix-huit torpilles, 6 dans les tubes et 12 stockés sur leur support. Le sous-marin peut transporter et déployer 24 mines ; deux dans chacun des six tubes et douze sur les supports. Deux tubes lance torpille sont conçus pour les torpilles télécommandées d'une précision très élevée, les TEST-71 M, des torpilles filoguidées ASW (lutte anti-sous-marine). Tous les tubes lance torpilles et leurs systèmes sont utilisable de façon efficace aussi bien a profondeur périscopique, qu'opérationnelle (240m). Le système torpille, commandé par ordinateur est équipé d'un dispositif de chargement rapide ; Il ne faut en effet que trois minutes pour préparer les tubes lance torpilles a tiré.
Il dispose de capacités anti-aérienne avec l'adjonction de missile SAM Gremlin tiré (par des membres de l'équipage entraîné à son utilisation) a partir du kiosque. L'addition du lance-missiles (portatif) sur les projets 636 donne au bateau une défense "raisonnable" contre les hélicoptères de lutte anti-sous-marine.
Ses deux batteries de stockage et un système de régénération d’air lui permettent de rester 260 heures en opération avant de devoir recharger ses batteries et ventiler au snorckel.
A bord, 13 officiers, 12 officiers subalternes, 12 sous-officiers et 15 sous-mariniers, soit 52 hommes.
A suivre...
julien673 a écrit :J ai jouer au demos... et j ai eu tout les misere du monde a survivre avec le sous marin..apres le lancement de ma torpille..
Il est vraiment bien ce jeux
En fait, j?ai le jeu depuis un moment mais je suis loin de le ma?tris? tant il est complet. Pour commencer, il faut laiss? les postes les plus complexes en ? autocrew ? (g?r? par l??quipage IA). Aussi, l?important est de rester silencieux, ne pas d?passer les 2/3 de la vitesse, ne pas utiliser les moyens de d?tection actifs comme le radar ou les pings, sans quoi on r?v?le sa position ? l?ennemi.
Oui, le jeu est bon et prenant mais n?cessite une longue p?riode d?apprentissage (ce qui n'est pas mon cas non plus) pour ?viter d??tre d?router et d?courager par sa complexit
Avant de commencer, faisons le point sur les torpilles en place dans les tubes et celles en stock.
Dans les tubes 1, 2 et 4, des torpilles 53-65K (+ 3 autres en stock)
Cette torpille de presque 8 m?tres de long, plus de 2 tonnes et avec une charge explosive de 300 kg, est tr?s efficace contre les navires de surface, elle peut ?tre utilis?e contre les sous-marins mais avec des chances de succ?s limit?es. Cette torpille est tr?s particuli?re. En effet, elle se guide sur le sillage des navires. Lorsque la 53-65K rencontre le sillage d?un navire ou d?un sous-marin, elle vire, suit le sillage et le remonte jusqu?? sa source. Gr?ce ? sa vitesse de 55nds (102 Km/h), les navires ont peut de temps pour faire une man?uvre d??vasion (en outre, toute acc?l?ration augmente le sillage). Son syst?me de guidage, totalement passif, difficilement leurable, en fait aussi une arme de choix contre les sous-marin ? faible profondeur s?ils cavitent*, ce qui est presque toujours le cas s? ils d?tectent une torpille se dirigeant dans leur direction : ils acc?l?rent pour tenter de lui ?chapper ce qui va permettre ? la 53-65k de les accrocher, et de les couler. Avec une port?e de 10 miles nautiques (19 Km), c?est une arme redoutable.
*cavitation : Bruit engendr? par l?h?lice d?un b?timent. La cavitation existe presque toujours sur les b?timents de surface. A bord des sous-marins, le ph?nom?ne n?appara?t que lors des acc?l?rations. Une pale d?h?lice se d?pla?ant dans l?eau produit une surpression d?un c?t? et une d?pression de l?autre, tout comme l?aile d?un avion. La d?pression tire le b?timent en avant et la surpression le pousse. Lorsque la d?pression devient trop forte, de petites bulles de vapeur apparaissent sur les pales. En s??loignant de l?h?lice, la pression redevient normale. La vapeur se condense alors brutalement et la bulle s?effondre sur elle-m?me dans un claquement sec. Ce ph?nom?ne est tr?s nocif pour la discr?tion acoustique du sous-marin.
Salle des torpilles
Dans les tubes 5 et 6, des TEST-71M (+ 3 en stock)
Torpille exclusivement de lutte anti-sous-marine, elle dispose d?un sonar actif et passif et peut aussi ?tre filoguid?e. D?une port?e de 20 Km, elle file vers sa cible ? une vitesse de 40 n?uds (74 Km/h) jusqu?? une profondeur de 400 m?tres.
Diam?tre : 534.4 mm
Longueur : 8.260 m
Poids : 1.840 Kg
Poids charge explosive : 205 Kg
Vitesse maxi. : 74 Km/h
Port?e maxi. : 20 Km
Profondeur maxi. : 400 m
Dans le tube 3, un missile anti-sous-marin SS-N-15 Starfish (+ 3 en stock)
Le Starfish est un missile porteur d?une petite torpille UMGT-1 qu?il l?che au bout d?une distance pr?programm?e. Le missile porteur a une port?e de 35 Km ? 500nds (926 Km/h) et la torpille, une port?e de 8 Km ? 70 Km/h avec une charge explosive de 100 kg.
Pour le tir du missile, le sous-marin doit ?tre ? une profondeur comprise entre 50 et 150 m?tres, avec une vitesse inf?rieur ? 6 n?uds.
Le Starfish peut ?tre ?quip? d?une charge nucl?aire de 200 kT.
Voil? pour le point sur l'armement ? bord. Nous disposons ?galement de 2 mines mobiles et d'une part ?gale de contre-mesures actives et passives.
Dans les tubes 1, 2 et 4, des torpilles 53-65K (+ 3 autres en stock)
Cette torpille de presque 8 m?tres de long, plus de 2 tonnes et avec une charge explosive de 300 kg, est tr?s efficace contre les navires de surface, elle peut ?tre utilis?e contre les sous-marins mais avec des chances de succ?s limit?es. Cette torpille est tr?s particuli?re. En effet, elle se guide sur le sillage des navires. Lorsque la 53-65K rencontre le sillage d?un navire ou d?un sous-marin, elle vire, suit le sillage et le remonte jusqu?? sa source. Gr?ce ? sa vitesse de 55nds (102 Km/h), les navires ont peut de temps pour faire une man?uvre d??vasion (en outre, toute acc?l?ration augmente le sillage). Son syst?me de guidage, totalement passif, difficilement leurable, en fait aussi une arme de choix contre les sous-marin ? faible profondeur s?ils cavitent*, ce qui est presque toujours le cas s? ils d?tectent une torpille se dirigeant dans leur direction : ils acc?l?rent pour tenter de lui ?chapper ce qui va permettre ? la 53-65k de les accrocher, et de les couler. Avec une port?e de 10 miles nautiques (19 Km), c?est une arme redoutable.
*cavitation : Bruit engendr? par l?h?lice d?un b?timent. La cavitation existe presque toujours sur les b?timents de surface. A bord des sous-marins, le ph?nom?ne n?appara?t que lors des acc?l?rations. Une pale d?h?lice se d?pla?ant dans l?eau produit une surpression d?un c?t? et une d?pression de l?autre, tout comme l?aile d?un avion. La d?pression tire le b?timent en avant et la surpression le pousse. Lorsque la d?pression devient trop forte, de petites bulles de vapeur apparaissent sur les pales. En s??loignant de l?h?lice, la pression redevient normale. La vapeur se condense alors brutalement et la bulle s?effondre sur elle-m?me dans un claquement sec. Ce ph?nom?ne est tr?s nocif pour la discr?tion acoustique du sous-marin.
Salle des torpilles
Dans les tubes 5 et 6, des TEST-71M (+ 3 en stock)
Torpille exclusivement de lutte anti-sous-marine, elle dispose d?un sonar actif et passif et peut aussi ?tre filoguid?e. D?une port?e de 20 Km, elle file vers sa cible ? une vitesse de 40 n?uds (74 Km/h) jusqu?? une profondeur de 400 m?tres.
Diam?tre : 534.4 mm
Longueur : 8.260 m
Poids : 1.840 Kg
Poids charge explosive : 205 Kg
Vitesse maxi. : 74 Km/h
Port?e maxi. : 20 Km
Profondeur maxi. : 400 m
Dans le tube 3, un missile anti-sous-marin SS-N-15 Starfish (+ 3 en stock)
Le Starfish est un missile porteur d?une petite torpille UMGT-1 qu?il l?che au bout d?une distance pr?programm?e. Le missile porteur a une port?e de 35 Km ? 500nds (926 Km/h) et la torpille, une port?e de 8 Km ? 70 Km/h avec une charge explosive de 100 kg.
Pour le tir du missile, le sous-marin doit ?tre ? une profondeur comprise entre 50 et 150 m?tres, avec une vitesse inf?rieur ? 6 n?uds.
Le Starfish peut ?tre ?quip? d?une charge nucl?aire de 200 kT.
Voil? pour le point sur l'armement ? bord. Nous disposons ?galement de 2 mines mobiles et d'une part ?gale de contre-mesures actives et passives.
Dernière édition par leliou le ven. 9 déc. 2005 21:30, édité 1 fois.
18 :00
Nous voil? (cercle bleu sur la carte) donc ? une centaine de miles nautiques des c?tes du l?Uruguay, non loin de l?estuaire ? Rio de la Plata ?. Nous sommes en plong?e ? 183 m?tres et en progression lente, cap plein nord. A not? que nous sommes au dessus d?une faille sous-marine, jusqu'? 2000 m?tres au plus profond.
Sur la carte a ?t? report?e la derni?re position connue du Sao Paulo (en rouge), information fournie par les renseignements, ? 63 Km de notre position, se dirigeant au sud-ouest.
Le Vologda s'avance doucement vers sa proie...
Nous voil? (cercle bleu sur la carte) donc ? une centaine de miles nautiques des c?tes du l?Uruguay, non loin de l?estuaire ? Rio de la Plata ?. Nous sommes en plong?e ? 183 m?tres et en progression lente, cap plein nord. A not? que nous sommes au dessus d?une faille sous-marine, jusqu'? 2000 m?tres au plus profond.
Sur la carte a ?t? report?e la derni?re position connue du Sao Paulo (en rouge), information fournie par les renseignements, ? 63 Km de notre position, se dirigeant au sud-ouest.
Le Vologda s'avance doucement vers sa proie...
18:01
Rapidement le premier contact au sonar appara?t.
- ? Central, ici Acoustique. Nouveau contact azimut 314?. D?sign? Sierra Unit?. ?
- ? Acoustique. Re?u.? r?pond l?officier de quart en se tournant vers moi.
- ? Capitaine ! Contact ? ?
- ? J?ai entendu. Merci? ? r?pondis-je en l?interrompant d?un geste de la main.
Avant que je n?ai eu le temps d?ordonner de poursuivre, la radio crache de nouveau
- ? Central, ici Acoustique. Nouveau contact au 288. D?sign? Sierra Deux.?
- ? Acoustique. Re?u.? r?plique le jeune officier qui, cette fois ne me jette qu?un regard auquel je r?ponds d?un clin d??il.
Ces deux contacts ne sont pour l?instant que des ? bruits ? entendus dans une certaine direction gr?ce au sonar.
Les sonars sont utilis?s pour d?tecter les contacts surfaces et sous-marins. Les sonars sont vos uniques senseurs disponibles en immersion sup?rieure ? l?immersion p?riscopique.
Le poste sonar est le plus importants du sous-marin. Il permet de d?tecter, d?identifier, de poursuivre et marquer des contacts en employant les sonars passifs ou actifs.
Le Kilo est ?quip? d?un sonar sph?rique (cylindrical), ? l?avant et d?un sonar de coque sur les flancs du sous-marin (conformal).
Un syst?me sonars passifs consiste en une multitude d?hydrophones que re?oivent les sons produits par diff?rentes sources. Les sonars passifs peuvent seulement ?couter. Leurs fonctions principales est la d?tection et la classification des contacts. Avec les sonars passifs, vous avez seulement la direction de la source sonore (bearing), la distance du contact est ? l?origine inconnue, ci qui rend toute attaque impossible dans un premier temps.
Les sonars passifs peuvent ?galement d?terminer la distance des contacts, en utilisant une proc?dure appel?e Analyse des Mouvements des cibles (TMA).
Pour les sonars actifs, quand vous avez un ?cho, celui-ci vous donne la direction et la distance (range) du contact. Ce qui permet une attaque imm?diate du contact. Les sonars actifs ?mettent une puissante onde sonore que se r?fl?chie sur les obstacles (contact) qu?elle rencontre. Le gros inconv?nient des sonars actifs est que les unit?s ennemies peuvent intercepter vos ?missions et ainsi vous localiser. En raison de cet inconv?nient, les sonars actifs ne sont utilis?s qu?en dernier recourt.
Le sonar sph?rique peut fonctionn? en mode passif ou actif. Plus la vitesse du sous-marin est importante, moins les performances de ce sonar sont bonnes. Il d?tecte plut?t les hautes fr?quences.
Le sonar de flanc est uniquement passif. Il peut intercepter les basses fr?quences. Il est utilis? pour la classification (identification) des contacts.
Les contacts apparaissent comme de petites points sortant du bruit de fond en direction de l?ext?rieur de l??cran. La direction de la pointe indique l?azimut du contact. Les 2 contacts au tribord avant (droite) sont des "biologiques", ici, deux baleines dont on entend le champ.
Aucun sonars n?offrent de possibilit? de d?tection sur 360 degr?s. Chaque sonar a son angle mort. Pour le sonar sph?rique, sur l?arri?re du sous-marin. Le sonar de flanc lui a deux angles morts, un centr? sur l?avant, l?autre sur l?arri?re, angle d?environ 60 ?.
A suivre...
Rapidement le premier contact au sonar appara?t.
- ? Central, ici Acoustique. Nouveau contact azimut 314?. D?sign? Sierra Unit?. ?
- ? Acoustique. Re?u.? r?pond l?officier de quart en se tournant vers moi.
- ? Capitaine ! Contact ? ?
- ? J?ai entendu. Merci? ? r?pondis-je en l?interrompant d?un geste de la main.
Avant que je n?ai eu le temps d?ordonner de poursuivre, la radio crache de nouveau
- ? Central, ici Acoustique. Nouveau contact au 288. D?sign? Sierra Deux.?
- ? Acoustique. Re?u.? r?plique le jeune officier qui, cette fois ne me jette qu?un regard auquel je r?ponds d?un clin d??il.
Ces deux contacts ne sont pour l?instant que des ? bruits ? entendus dans une certaine direction gr?ce au sonar.
Les sonars sont utilis?s pour d?tecter les contacts surfaces et sous-marins. Les sonars sont vos uniques senseurs disponibles en immersion sup?rieure ? l?immersion p?riscopique.
Le poste sonar est le plus importants du sous-marin. Il permet de d?tecter, d?identifier, de poursuivre et marquer des contacts en employant les sonars passifs ou actifs.
Le Kilo est ?quip? d?un sonar sph?rique (cylindrical), ? l?avant et d?un sonar de coque sur les flancs du sous-marin (conformal).
Un syst?me sonars passifs consiste en une multitude d?hydrophones que re?oivent les sons produits par diff?rentes sources. Les sonars passifs peuvent seulement ?couter. Leurs fonctions principales est la d?tection et la classification des contacts. Avec les sonars passifs, vous avez seulement la direction de la source sonore (bearing), la distance du contact est ? l?origine inconnue, ci qui rend toute attaque impossible dans un premier temps.
Les sonars passifs peuvent ?galement d?terminer la distance des contacts, en utilisant une proc?dure appel?e Analyse des Mouvements des cibles (TMA).
Pour les sonars actifs, quand vous avez un ?cho, celui-ci vous donne la direction et la distance (range) du contact. Ce qui permet une attaque imm?diate du contact. Les sonars actifs ?mettent une puissante onde sonore que se r?fl?chie sur les obstacles (contact) qu?elle rencontre. Le gros inconv?nient des sonars actifs est que les unit?s ennemies peuvent intercepter vos ?missions et ainsi vous localiser. En raison de cet inconv?nient, les sonars actifs ne sont utilis?s qu?en dernier recourt.
Le sonar sph?rique peut fonctionn? en mode passif ou actif. Plus la vitesse du sous-marin est importante, moins les performances de ce sonar sont bonnes. Il d?tecte plut?t les hautes fr?quences.
Le sonar de flanc est uniquement passif. Il peut intercepter les basses fr?quences. Il est utilis? pour la classification (identification) des contacts.
Les contacts apparaissent comme de petites points sortant du bruit de fond en direction de l?ext?rieur de l??cran. La direction de la pointe indique l?azimut du contact. Les 2 contacts au tribord avant (droite) sont des "biologiques", ici, deux baleines dont on entend le champ.
Aucun sonars n?offrent de possibilit? de d?tection sur 360 degr?s. Chaque sonar a son angle mort. Pour le sonar sph?rique, sur l?arri?re du sous-marin. Le sonar de flanc lui a deux angles morts, un centr? sur l?avant, l?autre sur l?arri?re, angle d?environ 60 ?.
A suivre...
18:02
Deux nouveaux contacts sont capt?s par le sonar de flanc de flanc cette fois (MGK-400 PNB) : Sierra 3, bearing 048 et Sierra 4, bearing 315.
Sierra 3 est effectivement un nouveau contact, mais Sierra 4, n?est sans doute que la confirmation de Sierra 1, qui f?t d?tect? avec le sonar sph?rique (MGK-400 PBB) un peu plus t?t.
Ce que je pensais se confirme une poign?e de secondes plus tard. Aussi, cette fois, gr?ce ? l?analyse des cibles (TMA ? Target Motion Analyses), qui estime la route et la distance d?un contact en utilisant l?observation des azimuts d?interception en fonction du temps et une estimation de la vitesse du contact, nous avons plusieurs informations (estim?es) concernant ce contact, Sierra 1 et 4, qui deviens Mike 01, pour signifi? un contact multi senseurs, issu de plusieurs senseurs (2 sonars diff?rents dans notre cas). Nous avons donc une solution de tir pour ce contact.
Le poste TMA au travail
Quelques instants plus tard, ces m?mes op?rations se r?p?tes pour Sierra01.
A suivre...
Deux nouveaux contacts sont capt?s par le sonar de flanc de flanc cette fois (MGK-400 PNB) : Sierra 3, bearing 048 et Sierra 4, bearing 315.
Sierra 3 est effectivement un nouveau contact, mais Sierra 4, n?est sans doute que la confirmation de Sierra 1, qui f?t d?tect? avec le sonar sph?rique (MGK-400 PBB) un peu plus t?t.
Ce que je pensais se confirme une poign?e de secondes plus tard. Aussi, cette fois, gr?ce ? l?analyse des cibles (TMA ? Target Motion Analyses), qui estime la route et la distance d?un contact en utilisant l?observation des azimuts d?interception en fonction du temps et une estimation de la vitesse du contact, nous avons plusieurs informations (estim?es) concernant ce contact, Sierra 1 et 4, qui deviens Mike 01, pour signifi? un contact multi senseurs, issu de plusieurs senseurs (2 sonars diff?rents dans notre cas). Nous avons donc une solution de tir pour ce contact.
Le poste TMA au travail
Quelques instants plus tard, ces m?mes op?rations se r?p?tes pour Sierra01.
A suivre...
Belle explication. Tu ne serais pas sous-marinier par hasard 
STURMLUDO a écrit :Ca a l'air chouette,
mais il faut 10 ans d'?tudes avant d'attaquer le tutorial non?
Non. Pour d?buter doucement, tu peux laiss? les postes en "autocrew", c'est-?-dire g?rer par l'IA. Aussi, il y a pas mal de traductions, d'explications sur les s?tes de fans...
PS : Je ne suis pas sous-marinier
Pas vraimment non 
18:04
Gr?ce ? sa signature sonore, le contact Mike02 est identifi?. Il s?agit d?un navire cargo. ?tant donn? le niveau de confiance de l?information (MEDIUM) et sa route, j?en conclus qu?il s?agit d?un navire civil, bien imprudent, et l?identifie comme neutre.
18:09
Un b?timent suppos? ennemi utilise un sonar actif et nous d?voile ainsi la direction dans laquelle il se trouve.
- ? Capitaine, ?missions sonars actives intercept?es ! D?signation Sierra 6.?
- ? Re?u ! Vous avez la source ? ?
- ? N?gatif mon Capitaine, nous n?avons que l?azimut, c?est ?038?.?
18 :10
- ? Capitaine, les pings se poursuivent et nous avons la source ! Contact au 039, distance 51 Km, course au 174. ?
- ? Tr?s bien. ?
Le contact S06 (Sierra 6), qui nous recherche au sonar actif, et en vert, le cargo r?cemment identifi?.
S6, vu sa position et sa route est identifi? comme certainement ennemi.
- "Veillez ? identifi? le contact ? b?bord je vous prie. Prestement !"
- " Bien Capitaine".
A suivre...
Gr?ce ? sa signature sonore, le contact Mike02 est identifi?. Il s?agit d?un navire cargo. ?tant donn? le niveau de confiance de l?information (MEDIUM) et sa route, j?en conclus qu?il s?agit d?un navire civil, bien imprudent, et l?identifie comme neutre.
18:09
Un b?timent suppos? ennemi utilise un sonar actif et nous d?voile ainsi la direction dans laquelle il se trouve.
- ? Capitaine, ?missions sonars actives intercept?es ! D?signation Sierra 6.?
- ? Re?u ! Vous avez la source ? ?
- ? N?gatif mon Capitaine, nous n?avons que l?azimut, c?est ?038?.?
18 :10
- ? Capitaine, les pings se poursuivent et nous avons la source ! Contact au 039, distance 51 Km, course au 174. ?
- ? Tr?s bien. ?
Le contact S06 (Sierra 6), qui nous recherche au sonar actif, et en vert, le cargo r?cemment identifi?.
S6, vu sa position et sa route est identifi? comme certainement ennemi.
- "Veillez ? identifi? le contact ? b?bord je vous prie. Prestement !"
- " Bien Capitaine".
A suivre...
18 :13
On s’active du côté du poste sonar en vue d’identifié le contact M01.
Selon sa signature, plusieurs solutions sont proposées. Soit un Kilo (mais nous sommes sensés être les seuls de la région), soit un SSN de type HAN chinois (ce qui semble improbable), soit un SSN de classe Améthyste français (pas possible non plus) Enfin, la signature pourrais être celle d’un TR-1700 argentin, ce qui correspond aux informations données de la mission. Nous avons donc trouvé notre allié du moment. La carte est aussitôt mise à jour.
Pour clarifié les choses, le contact Sierra 6, vue sa course et le fait qu’il «ping », est classifié en « présumé hostile ».
A suivre...
On s’active du côté du poste sonar en vue d’identifié le contact M01.
Selon sa signature, plusieurs solutions sont proposées. Soit un Kilo (mais nous sommes sensés être les seuls de la région), soit un SSN de type HAN chinois (ce qui semble improbable), soit un SSN de classe Améthyste français (pas possible non plus) Enfin, la signature pourrais être celle d’un TR-1700 argentin, ce qui correspond aux informations données de la mission. Nous avons donc trouvé notre allié du moment. La carte est aussitôt mise à jour.
Pour clarifié les choses, le contact Sierra 6, vue sa course et le fait qu’il «ping », est classifié en « présumé hostile ».
A suivre...
Dernière édition par leliou le mer. 14 déc. 2005 16:58, édité 2 fois.
18 :17
J’ordonne de remonter en immersion périscopique, pour plusieurs raisons.
Je veux d’abord vérifier que de nouveaux messages radios ne soient pas arrivés et contrôler que mes ordres n’aient pas changé.
Ensuite, une fois en IP (immersion périscopique), je pourrai déployé le mat ESM (Electronic Support Measures). Le mat ESM est fait pour intercepter de façon passive les émissions électromagnétiques des radars en émissions se trouvant dans le secteur. Il s’utilise soit en surface soit à l’immersion périscopique . Les interceptions électroniques vous donne l’azimut du radar intercepté et la puissance de l’émission interceptée, ce que donne une information sur la distance du radar – proche (rouge) moyenne distance (jaune) éloigné (vert) ainsi que la probabilité de détection du radar sur vous si vous êtes en surface ou sur votre mat ESM si vous êtes en IP. En plus de l’azimut, l’ESM peut vous indiquer le type d’unité qui est porteuse du radar intercepté.
Enfin, j’en profiterai pour faire un tour d’horizon au périscope, bien que, vu l’heure tardive, donc la mauvaise visibilité et l’absence de caméra nocturne sur le Kilo, je ne me fasse guère d’illusions sur mes chances de voir quelques navires.
18 : 22
- « Nous sommes en immersion périscopique capitaine. »
- « Bien, montez le périscope ! »
Comme je m’y attendais, rien en vue. Par contre, le périscope est équipé d’un senseur ESM (pas d’azimétrie ni d’analyse du signal mais juste une indication d’interception) qui m’alerte.
- « Déployez les mats ESM … et radio ! »
A suivre...
J’ordonne de remonter en immersion périscopique, pour plusieurs raisons.
Je veux d’abord vérifier que de nouveaux messages radios ne soient pas arrivés et contrôler que mes ordres n’aient pas changé.
Ensuite, une fois en IP (immersion périscopique), je pourrai déployé le mat ESM (Electronic Support Measures). Le mat ESM est fait pour intercepter de façon passive les émissions électromagnétiques des radars en émissions se trouvant dans le secteur. Il s’utilise soit en surface soit à l’immersion périscopique . Les interceptions électroniques vous donne l’azimut du radar intercepté et la puissance de l’émission interceptée, ce que donne une information sur la distance du radar – proche (rouge) moyenne distance (jaune) éloigné (vert) ainsi que la probabilité de détection du radar sur vous si vous êtes en surface ou sur votre mat ESM si vous êtes en IP. En plus de l’azimut, l’ESM peut vous indiquer le type d’unité qui est porteuse du radar intercepté.
Enfin, j’en profiterai pour faire un tour d’horizon au périscope, bien que, vu l’heure tardive, donc la mauvaise visibilité et l’absence de caméra nocturne sur le Kilo, je ne me fasse guère d’illusions sur mes chances de voir quelques navires.
18 : 22
- « Nous sommes en immersion périscopique capitaine. »
- « Bien, montez le périscope ! »
Comme je m’y attendais, rien en vue. Par contre, le périscope est équipé d’un senseur ESM (pas d’azimétrie ni d’analyse du signal mais juste une indication d’interception) qui m’alerte.
- « Déployez les mats ESM … et radio ! »
A suivre...
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