Le 9 Mars à 09h00, un raid est annoncé sur Malte par les opérateurs radar. Comme d'habitude, les équipes de DCA se préparrent à recevoir les attaquants. pourtant, les défenseurs de l'ile sont impressionnés par la puissance de l'attaque portée. 90 bombardiers italo-allemands larguent
avec précision leur cargaison sur les aéroports de l'ile et détruisent quelques avions.
A peine ce premier raid se replie-t-il, qu'un second est annoncé.
Pendant 12 heures, les bombardiers se succedent, encaissant des pertes, mais réduisant petit à petit la disponibilité des appareils alliés.
A la nuit, les personnels anglais sont exténués, et le travail de remise en état à commencé sur les pistes dévastées.
Pourtant, lorsque un message urgent venu d'Alexandrie ordonne le décollage immédiat de tous les appareils disponibles pour une mission d'interception prioritaire, force est d'avouer l'impossibilité d'obéir.
A 3 heures du matin, les détecteurs acoustiques confirment un mouvement maritime au large, mais il est impossible d'agir.

Simultanément, le Torbay, sous-marin en position devant Tobrouk signale le départ de nombreux navires de guerre, à allure soutenue vers le nord est.
A l'aube, la desert air force envoie des appareils en reconnaissance, d'Alexandrie à Tobrouk. La Force H se préparre à appareiller, mais l'absence de l'Eagle en patrouille ASM en mer rouge se fait sentir.
En matinée, un appareil de reocnnaissance detecte enfin la force italienne.
Le Littorio est reconnu parmi la centaine de navires présents.

Il faut se rendre à l'évidence : les bombardiers de Malte sont trop loin pour agir, et seule quelques appareils de la Desert Air Force peuvent décoller pour essayer une interception.

Mais les forces aeriennes de la Desert Air Force ne sont pas celles de MAlte. Ni les appareils de visés ni les pilotes ne sont destinés à bombarder des navires. toutes les bombes échouent à faire des pertes...
ET à Midi il faut se rendre à l"évidence : deux formations allemandes viennent de traverser la mediterannée pour renofrcer la zone de Tobrouk.
Elles y sont disponibles pour de futures opérations.
En 213, les 35 et 40 emme des nouveaux commandants sont en train de préparer les plans de leurs retranchements, mais déjà les forces positionnées en avant se replient avec de funestes nouvelles : 4 formations de l'axe convergent rapidemment.
Les hommes sont appelés aux postes de combat...
Il me faut un chef pour commander en 213...
