Fred a écrit :En 150 , c'est nous qui contrôlont la zone ( résultat bataille précédente ) , comment l'ennemi peut -il s'y retrancher ? ...
Le retranchement n'est pas la fortification, c'est un acte pratiqué par n'importe quelle formation de combat.
Le retranchement consiste simplement à creuser des tours d'hommes avec une pelle individuelle (dans le sac de chaque soldat), dérouler quelques rouleaux de barbelés (disponibles dans les camions de ravitaillement de chaque unité d'infanterie) et poser des "daysy chain" (bouchons sommaire de mines voir
http://www.appui-feu.com/modules.php?na ... ic&t=15839). Cela fait partie de l’entrainement de base des unités des années 40.
La fortification nécessite non seulement des troupes de génie, pas du génie de combat avec charge de démo et lance-flamme mais également avec moyens lourds (dozer, pelleteuses etc) mais également l'intervention de société civile pour le gros œuvres et les infrastructures routières.
Il n'y a donc aucun rapport entre contrôle de la zone et retranchement.
Concernant la présence simultanée d'unités ennemies dans une région de 200x200km sur une durée d'un mois, elle n'implique pas un mois de combats ininterrompus. Elle n'est pas inhabituelle pendant la 2ème GM.
Si on ressaie de jouer le débarquement de Normandie avec la MCP2, l'adoption du système de recul obligatoire donnerait deux options :
- juin 44, les alliés réussissent le débarquement donc les allemands reculent, Paris est libérée en juillet 44 et dès Aout les alliés sont sur la frontière allemande...
- juin 44, l'axe bloque les alliés un mois sur place, devant Caen par exemple, c'est à dire qu'il gagne la bataille et que les alliés rentrent en Angleterre.
Mais les règles ne sont pas figées elles ont déjà bougé et peuvent encore le faire, le retour au repli obligatoire peut être remis en place.
La 1ère de Tonio s'étant ouvert un boulevard sanglant dans les réservistes de Ledens attaque désormais les bases arrières de Minsk (127) faiblement défendues.
