La mission allait être périlleuse, tant la pression des sous marins italiens se faisait plus forte depuis quelques semaines.
Du pont du croiseur Cornwall, il regardait ses destroyers se déployer pour prendre la route de l'ouest et de Tobrouk en escortant les 35 cargos qu'il avait pu regrouper ces derniers jours.
Le choix avait été fait d'envoyer les plus rapides vers Tobrouk pour y décharger du ravitaillement necessaire à la remise en état des défenses du port.
Une force plus lente, et à laquelle on ne pouvait garantir une escorte de la même qualité prenait une route plus au nord, pour transporter les éléments de la toute nouvelle 5e divison blindée.
L'amiral état inquiet. Malgré la présence de l'Audacious en position centrale, il détestait cette idée de séparrer ses forces, et craignait qu'à battre deux fers, aucun ne donne un résultat correspondant aux attentes.
Le soleil se levait et la force progressait. Le barrage sous-marin à la sortie de Tobrouk avat pu être neutralisé par le déploiement de nombreuses embarcations qui avaient "fait du bruit" pour effrayer les loups...
La matinée puis la journée se déroulèrent tranquillement, la force principale approchait de Tobrouk alors que la 5eme avançait vers Malte, plus au large. un rapport lui appris alors qu'un bombardement de Tripoli avait apporté des succès significatfs mais qu'un sous-marin était porté manquant.
Au soir, Tobrouk était en vue.
Les Cargos entrèrent dans la rade et débarquèrent rapidemment la préceuse cargaison.
Par un ingénieux système de manutention, les cales se remplirent ensuite du matériel des 91 et 78e divisions. Ces deux forces avaient quitté discrêtement leurs postions face aux forces italo-allemandes débarquées, et étaient remplacées par une force de garnison qu ferat leurre... du moins l'esperait-on ! Cette opération état risquée mais pouvait aussi apporter la libération de toute l'afrique du Nord si Tripoli - denrier grand port libre de l'axe - tombait. C'etaient peut être 500000 soldats de l'axe que l'on esperait capturer, sans parler du matériel...
Les combattants aguerris montaient rapdement à bord des navires, les forces chargées du débarquement prenant place sur les vieux charbonniers qui devraient s'échouer sur les plages tripolitaines : le manque de barges avait obligé à ce choix, les combattants sauteraient drectement sur la plage depuis les bas bords... l'effet de surprise était décisif, l'attaque devait avoir lieu à l'aube du surlendemain. La 5e rejoindrait plus tard dans la soirée.
L'arrivée sur les plages fut compliquée. Les mines prélevèrent leur tribu : 5 navires explosèrent avant même que les batteries cotières n'ouvrent le feu. Celles ci se mirent rapdement en oeuvre, et le Valliant ouvrit le feu en réponse.
La 91e avat subit des pertes (dé=5 : 10% de pertes) , l'absence de son commandant désorganisant encore un peu l'opération.
Le chef de la 73eme assurait l'opération avec un certain succès, cependant.
A 10h, les plages étaient sécurisées, et les troupes organsaient leur progression vers la capitale lybienne... A 11h, les éclaireurs raportaient que les Italiens semblaent nombreux dans le grand port : la 185 Folgore, nouvellement arrivée en Lybie prenait les positions de combats dans les forts des abords de la ville.
Leur capitaine ChrisD était réputé pour sa méchanceté et ses parachutistes n'étaient pas des mauviettes.
Alors que les combats se préparaient, la nouvelle qu'il craignait tant parvint à l'Amiral: A 16h00, la Force transportant la 5eme avat subit une attaque des forces aeriennes basées en crête. La force devait faire demi tour, le chef de l'escorte ayant peut être un peu paniqué. Les pertes étaent élevées ( dé = 6 = 20% de pertes, plus opératon annulée)...
A terre les accrochages se multipliaient, et les 78 et 91e devraent donc se débrouiller seules.
il me faut un chef pour ce combat (entre melhuig et Cachou : je suppose Cachou ?) , et une heure d'attaqu OK
Dans le desert, les combattants épuisés mais aguerris de la 7e desert's rats remirent leur casque en regardant leur commandant et en prenant la route pour remonter à l'assaut de la crête qur laquelle les italiens tennaient depuis 4 mois mantenant.
Le sergent Perry cracha par terre et marmona "Commandant ! Notre brillant capitaine qui nous fait tuer depuis 4 mois pour cette crête imbécile a reçu une promotion-et une bouteille de whisky je parie- pour ses grands faits d'armes ! Ils doivent être tous fous à Londres !"
Le sergent Larson lui donna une tape sur l'épaule : "tu sais c'est surement grace à nous qu'il a eu cette promotion : notre sueur lui est profitable. Et puis n'est il pas le frêre du mari de la secrétaire du minstre de l'agrculture ?"
"bah, allons y tout de même"... et ils s'élognèrent le long de la piste.
Commandant Cappy, à quelle heure envoies tu le sergent Larson et le sergent Perry conquérir cette crête ?
Plus loin au sud, la 13eme DBLE luttait dans le desert pour assurer les arrières des 35 et 40eme qui continuaient leur combat dans le désert... son chef, le capitaine Genghs espérat bien prouver là aux anglais et aux boches que la France était toujours dans la guerre !
Il me faut aussi un chef pour défendre Tobrouk en jouant une UT ...
